‘Mes’ Citations

Mes citations

05/08/2020
J’adore les citations, les aphorismes, les maximes, les proverbes, les sentences, etc. J’ai plusieurs anthologies de cela. Je mets ici mes préférés.

Commençons sérieusement (les citations sont après), car : vous ne le savez peut-être pas, mais vous êtes peut-être bien un terroriste en puissance pour la CIA ! L’information vient de cette page : la liste noire des terroristes dressée sur de simples soupçons :

« Américains et étrangers sont inscrits secrètement sur la liste noire américaine du terrorisme sur de simples « soupçons raisonnables » qu’il n’est pas nécessaire d’étayer, et peuvent y rester bien après leur mort, selon un document du gouvernement publié mercredi.
Le document non classifié de 166 pages, rédigé par le Centre national du Contre-terrorisme (NCTC) et rendu public par le site internet The Intercept, dissèque les instructions que les différentes autorités américaines doivent suivre pour inscrire quelqu’un dans les principales bases de données de surveillance terroriste.
Au fil des cinq chapitres du « Guide des listes de surveillance », dressé en mars 2013 en collaboration avec les 19 agences militaires et judiciaires du renseignement, on apprend que « les preuves irréfutables et les faits concrets ne sont pas nécessaires » pour avoir « des soupçons raisonnables » de l’implication terroriste d’un individu et qu’il suffit d’avoir des « renseignements ou des informations que l’on peut verbaliser ».
Fustigeant le jargon du document, The Intercept y voit un élargissement de l’autorité des responsables gouvernementaux à « nommer » des suspects de terrorisme sur la base de « vagues informations fragmentaires ».
Donc, qui sont considérés comme extrémistes ou potentiellement terroristes:
1.Ceux qui parlent des libertés individuelles
2.Ceux qui militent pour les droits des états
3.Ceux qui veulent faire de ce monde un monde meilleur
4.Les colons qui chercheraient à se débarrasser de la domination britannique
5.Ceux qui souhaiteraient vaincre les communistes
6.Ceux qui croient que «les intérêts de sa propre nation sont distincts des intérêts des autres nations ou à l’intérêt commun de toutes les nations»
7.Toute personne qui détient une «idéologie politique qui considère l’Etat comme inutile, nuisible ou indésirable»
8.Tous ceux qui pourraient être intolérants vis-à-vis d’une autre religion
9.Ceux qui « prennent des mesures pour lutter contre l’exploitation de l’environnement et / ou des animaux »”
10.“Les anti-gays”
11.“Les anti-Immigrant”
12.“Anti-musulmans”
13.Le « Patriot Movement”
14.Ceux opposés à l’égalité pour les gays et les lesbiennes
15.Members of the Family Research Council
16.Les membres de l’American Family Association
17.Ceux qui croient que le Mexique, le Canada et les États-Unis «ont secrètement l’intention de fusionner en une seule entité avec l’Union européenne qui sera connue sous le nom de «Union nord-américaine »
18.Les membres de l’American Border Patrol/American Patrol
19.Les membres de la Federation for American Immigration Reform
20.Les membres de la Tennessee Freedom Coalition
21.Les membres de la Christian Action Network
22.Tous ceux opposés au “Nouvel Ordre Mondial”
23.Toute personne impliquée dans une “théorie du complot”
24.Toute personne opposée à l’agenda 21
25.Toute personne se sentant préoccupée par les camps FEMA
26.Toute personne craignant le contrôle des armes à feu ou leur confiscation
27.Les milices
28.Le sovereign citizen movement
29.Ceux qui pensent qu’ils ne devraient pas avoir à payer d’impôts
30.Toute personne se plaignant de partialité
31.Toute personne qui « croit en des conspirations gouvernementales au point d’être de la paranoïa »
32.Toute personne frustrée avec les idéologies dominantes
33.Tous ceux visitant des sites et blogs extrémistes
34.Toute personne ayant un site/blog avec des idées extrémistes
35.Toute personne qui s’occupe des rassemblements pour des causes extrémistes
36.Toute personne affichant un grande intolérance religieuse
37.Toute personne qui «est personnellement liée à un grief »
38.Toute personne ayant soudainement acquis des armes
39.Toute personne organisant des protestations inspirées par une idéologie extrémiste
40.“Des milices ou milices non-organisées”
41.Les extrémistes de droite en général
42.Les citoyens qui ont des « autocollants pour voiture » qui sont patriotes ou anti-ONU
43.Ceux qui se réfèrent à une «Armée de Dieu»
44.Ceux qui sont farouchement nationalistes (par opposition aux orientations universelles et internationales)
45.Ceux étant anti-mondialisme
46.Ceux qui sont «suspect pour l’autorité fédérale centralisée »
47.Ceux qui sont «respectueux de la liberté individuelle »
48.Ceux qui croient aux théories de la conspiration
49.Ceux qui ont la conviction que ses objectifs personnels et/ou son «mode de vie» traditionnel est attaqué
50.Ceux qui possèdent une croyance dans la nécessité de se préparer à une attaque, soit en participant à la préparation et à la formation ou à du survivalisme paramilitaire
51.Ceux qui veulent imposer des principes ou des lois religieuses strictes sur la société (fondamentalistes)
52.Ceux qui souhaitent intégrer la religion à la sphère politique
53.Tous ceux ayant pour but de politiser la religion
54.Ceux qui ont soutenu les mouvements politiques d’autonomie
55.Ceux qui sont contre l’avortement
56.Les anti-catholiques
57.Tous les anti-nucléaire
58.Les extrémistes de droite
59.Les vétérans
60.Ceux qui se sentent concernés par l’immigration illégale
61.Ceux qui croient au droit de porter des armes
62.Toute personne stockant des munitions
63.Les personnes ayant peur des régimes communistes
64.Les activistes anti-avortement
65.Ceux qui sont contre l’immigration clandestine
66.Ceux qui parlent du « Nouvel Ordre Mondial » de manière péjorative
67.Ceux ayant une vision négative des Nations Unies
68.Ceux qui sont opposés à la perception des impôts sur le revenu fédéral
69.Ceux qui ont soutenu les anciens candidats à la présidentielle Ron Paul, Chuck Baldwin et Bob Barr
70.Ceux qui affichent le drapeau de Gadsden (« Ne marchez pas sur moi »)
71.Ceux qui croient aux prophéties de la «fin des temps»
72.Les évangélistesListe tirée de l’article : 72 Types Of Americans That Are Considered “Potential Terrorists” In Official Government Documents, traduction par Les Moutons Enragés, 24 juillet 2014.

1793, la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen dit dans son article 35 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. »

Abbé Pierre : « le contraire de la misère ce n’est pas la richesse, le contraire c’est le partage. »

Acutis, Carlo : On est tous des originaux mais beaucoup finissent comme des photocopies.

Al Capone: Une proposition c’est bien, accompagnée d’un revolver c’est mieux.

Allen, Woody : « On devrait vivre sa vie à l’envers…
On commence par mourir, ça élimine ce traumatisme qui nous suit toute la vie.
Après on se réveille dans une maison de retraite, en allant mieux de jour en jour.
Alors, on est mis dehors sous prétexte de bonne santé et on commence par toucher sa retraite.
Ensuite pour son premier jour de travail, on nous fait cadeau d’une montre en or et d’un beau salaire.
On travaille quarante ans jusqu’à ce que l’on soit suffisamment jeune pour profiter de la fin de sa vie active.
On va de fête en fête, on boit, on vit plein d’histoires d’amour ! Aucun problème grave.
On se prépare à faire des études universitaires.
Puis c’est le collège, on s’éclate avec ses copains, sans aucune obligation, jusqu’à devenir bébé.
Les neuf derniers mois on les passe tranquille à se baigner, avec chauffage central, « room service », etc.
Et au final, on quitte ce monde dans un orgasme ! »

_Anders, Gunther :
« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.
L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.
Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.
En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.
L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels.» » L’Obsolescence de l’homme »

Anonyme : Au moment où naît un enfant, la mère naît aussi. Elle n’a jamais existé avant. La femme existait, la mère, non.
Anonyme : L’avenir n’est pas ce qui va arriver mais ce que nous allons en faire.
Anonyme : « Le premier pas pour avoir ce que vous voulez, c’est d’avoir le courage de quitter ce que vous ne voulez plus ».
Anonyme : Ne t’adapte pas à ce qui ne te rend pas heureux.
Anonyme : « Qui n’avance point, recule ».
Anonyme : « Risquons tout, risquons le tout pour le Tout ».
Anonyme : « Quand quelque chose est à faire, il faut le faire, car c’est toujours le bon moment de le faire. Pourquoi méditer ? Parce que c’est l’heure de méditer. »
Anonyme : « Les humains sont des outils qu’on jette après usage » (Predator I)
Anonyme : Live = Evil.
Anonyme : Flagrant délit de flagrant déni.
Anonyme : Le Japon, on y va pour trouver quelque chose, on ne trouve pas ce qu’on cherche, on reste on ne sait pas pourquoi, probablement parce qu’on est fasciné.
Anonyme (bible?): si personne n’écoute, rien ne sert de parler.
Anonyme : Où serait Dieu, si vous n’étiez pas là ?
Anonyme : Lorsque c’est gratuit, c’est vous le produit !
Anonyme : Si tu ne fais rien, tu ne vaux rien.
Anonyme : Si personne n’en parle, c’est comme si ce n’était pas arrivé.
Anonyme : Il ne faut pas arrêter de confonde l’absence de bombes avec l’absence de guerre. L’absence de guerre ne signifie pas la paix.
Anonyme : Arrêtez de dire élite svp … L’élite c’est nous. Sans nous ils sont Rien. Sans eux on est bien. Nous sommes l’élite ils sont les parasites.
Anonyme : Autour de nous il n’y a que le sable, le silence et la mort.
Anonyme : « Certains doivent trouver difficile d’avoir fait de leur autorité la vérité, plutôt que de la vérité leur autorité « .

Anonyme : Ce que tu es est tout ce tu as.
Anonyme : Il y a quelqu’un dans ma tête mais ce n’est pas moi.

Anonyme : Regarde qui tu ne peux pas critiquer, et tu sauras qui commande en France.

Anonyme :  Un rabbin anglais, à Herzl : Je tremble à l’idée de la fondation d’un petit, d’un tout petit état juif, qui deviendrait un ghetto.

Anonyme : « Forte, ça veut pas dire que tu pleures jamais. Forte, ça veut pas dire que t’as jamais mal, que t’as jamais froid. Forte ça veut pas dire tout ça. Forte, c’est quand tu te relèves, à chaque fois. Même quand on t’as enfoncé le visage dans la boue, et qu’on t’a ri au nez. Forte, c’est quand tu glisses, tu t’accroches à n’importe quoi, à n’importe qui, pas pour remonter, pas forcément, mais pour ralentir la chute. Forte ça veut pas dire que t’as pas envie de mourir. Forte, ça veut dire que tu continues à vivre, avec l’envie de mourir. Et tu espères qu’un jour, l’envie, elle s’en ira. Forte ça veut dire être fragile, avoir des faiblesses. Forte ça veut dire essayer de faire avec. Forte ça veut dire avoir les larmes qui coulent, et les essuyer d’un revers de la main rageur. Forte ça veut dire être un peu enfant, encore, et avoir besoin de promesses et de secrets. Forte ça veut dire hurler quand il le faut, et se taire, quand on l’a trop fait. Forte, ça veut dire accepter de mourir un peu chaque jour, sous les cris, sous l’hypocrisie, sous la bassesse, juste pour continuer à vivre. Forte ça veut pas dire invincible. Ça veut dire humaine. Juste ça. »
Anonyme : Éteins ta télé et allume ton cerveau.
Anonyme : Ne comptez pas vos jours, mais faites que vos jours comptent.
Anonyme : Réveille-le ! Ce n’est pas moi qui l’ait endormi !
Anonyme : Pas un jour, sans écrire une ligne.
Anonyme : Quand on donne on ne retient pas.

Anonyme : IMI : intellectuel mais idiot.

Anonyme : Qui se justifie s’accuse. Qui agit en conscience n’a pas à s’accuser.

Anonyme : «La pandémie de coronavirus modifiera à jamais l’ordre mondial»

Anonyme : Obéir c’est trahir. Désobéir c’est servir.

Anonyme : Les Palestiniens ne sont ni israeliens, ni jordaniens, ni égyptiens. Ils n’ont plus de pays et ne sont plus que des réfugiés, dans l’immense prison à ciel ouvert de Gaza. Les juifs ont erré, dispersés, pendant 2000 ans environ : ils n’ont aucun pays à eux et ont du en conquérir un pour en avoir un – du moins pour une minorité de juifs athées, les religieux n’en voulant pas…

Anonyme {RTfrance) : Un complot est un plan délibérément concerté entre plusieurs individus conscients et lucides, en vue de nuire à une personne, un groupe ou une institution, pour le discréditer, entraver sa capacité d’expression et/ou d’action, le priver de possibilités d’exercer une fonction d’autorité ou d’influence, et le marginaliser au sein de la société, jusqu’à le faire oublier.

Anonyme : Un homme armé est un citoyen. Un homme désarmé est un contribuable.
Anonyme : Si je suis le même qu’hier c’est une journée perdue.
Anonyme : Boulot, crado, clodo – ou : Boulot, metro, conso, dodo.
Anonyme : Soit nous creusons des puits, soit nous creusons des tombes. Anonyme : Tout le monde veut que ça change mais personne ne veut changer.

Anonyme : Les Onze Commandements du COVID
– Je suis le Seigneur ton Dieu qui t’ai fait sortir du pays de la raison.
– Tu n’auras pas d’autre préoccupation que moi.
– Tu porteras un masque partout et tout le temps.
– Tu dénonceras ton prochain, s’il ne porte pas de masque
– Tu te laveras les mains 666 fois par jour.
– Tu ne te prosterneras que devant moi, car moi, l’Éternel COVID19, ton nouveau Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis ceux qui doutent de mon pouvoir jusqu’à la troisième génération et la quatrième génération de ceux qui au lieu de me craindre me haïssent.
– Oublie la vie telle qu’elle était avant moi.
– Honore chaque jour les supermarchés, Amazon et ta télévision.
– Tu ne réfléchiras point par toi-même.
– Dans la peur, tu dois rester.
– Tu n’embrasseras plus ton prochain.

« Anonyme » : Il était une fois quatre individus qu’on appelait
Tout le monde – Quelqu’un – Chacun – et Personne …
Il y avait un important travail à faire,
Et on a demandé à Tout le monde de le faire.
Tout le monde était persuadé que Quelqu’un le ferait.
Chacun pouvait l’avoir fait, mais en réalité Personne ne le fit.
Quelqu’un se fâcha car c’était le travail de Tout le monde !
Tout le monde pensa que Chacun pouvait le faire
Et Personne ne doutait que Quelqu’un le ferait
En fin de compte, Tout le monde fit des reproches à Chacun
Parce que Personne n’avait fait ce que Quelqu’un aurait pu faire.

MORALITÉ
Sans vouloir le reprocher à Tout le monde,
Il serait bon que Chacun
Fasse ce qu’il doit sans nourrir l’espoir
Que Quelqu’un le fera à sa place
Car l’expérience montre que
Là où on attend Quelqu’un,
Généralement on ne trouve Personne !

PROVERBE JUIF : Quiconque sauve une vie sauve le monde entier. A la mémoire des plus de six millions de juifs assassinés.

Aragorn : dans Le Retour du Roi : « Je donne de l’espoir aux hommes. Je n’en garde aucun pour moi »

Arendt, Hannah :
– Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez.
– La tromperie n’entre jamais en conflit avec la raison, car les choses auraient pu se passer effectivement de la façon dont le menteur le prétend. Le mensonge est souvent plus plausible, plus tentant pour la raison que la réalité, car le menteur possède le grand avantage de savoir à l’avance ce que le public souhaite entendre ou s’attend à entendre. Sa version a été préparée à l’intention du public, en s’attachant tout particulièrement à la crédibilité, tandis que la réalité a cette habitude déconcertante de nous mettre en présence de l’inattendu, auquel nous n’étions nullement préparés.
– C’est dans le vide de la pensée que s’inscrit le mal.
– L’être humain ne doit jamais cesser de penser. C’est le seul rempart contre la barbarie. Action et parole sont les deux vecteurs de la liberté. S’il cesse de penser, chaque être humain peut agir en barbare.

ARISTOTE : “L’excellence est un art que l’on n’atteint que par l’exercice constant. Nous sommes ce que nous faisons de manière répétée. L’excellence n’est donc pas une action mais une habitude.”

Aristote : Jamais l’esclavage n’est aussi bien réussi que lorsque l’esclave est persuadé que c’est pour son bien.

Attali, Jacques : (03.05.09) : «L’Histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que quand elle a vraiment peur». «Il ne faudra pas oublier, comme pour la crise économique, d’en tirer les leçons, pour qu’avant la prochaine, inévitable, on mette en place des mécanismes de prévention et de contrôle et des processus logistiques de distribution équitable des médicaments et de vaccins. On devra pour cela mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale. On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d’un véritable gouvernement mondial.» (Changer par précaution : https://blogs.lexpress.fr/attali/2009/05/03/changer_par_precaution/)

Augustin d’Hippone (saint) : « Ces propos, quand on les tient à certaines gens, les irritent et ils les prennent pour des injures personnelles. La plupart du temps, ils préfèrent se persuader que ceux qui les tiennent ne savent pas ce qu’ils disent, plutôt que de se reconnaître eux-mêmes incapables de comprendre ce qu’on leur dit. Quelquefois, il est vrai, nous leur apportons des raisons qui ne sont pas celles qu’ils attendent lorsqu’ils nous interrogent sur Dieu, parce que nous-mêmes, peut-être, ne pouvons les concevoir ou les exprimer. Du moins, nos raisons leur démontrent-elles combien ils sont inhabiles et peu aptes à comprendre ce qu’ils réclament. Mais parce qu’ils n’entendent point ce qu’ils désirent, ils s’imaginent, ou bien que nous rusons pour masquer notre propre ignorance, ou que, de mauvaise foi, nous leur envions leur science. Il arrive ainsi qu’ils s’en vont indignés et tout troublés. » La Trinité, I, I, 3.

SAINT AUGUSTIN : Voici en quelques mots la journée d’un chrétien parfait, en dehors de la pratique des saints sacrements :
– Au réveil :
1) Saluer Notre Seigneur, Marie et son ange gardien.
2) Remercier Notre Seigneur d’avoir passé la nuit et d’être encore vivant.
3) Lui demander de nous aider à tout lui offrir de la journée et à lui être reconnaissant.
4) Prier.
5) S’offrir dès maintenant à Jésus et que la volonté du Père se fasse dès maintenant.
– Durant la journée :
1) Consacrer au moins les principales actions, pensées et paroles de la journée à Dieu, à défaut de (pouvoir) le faire pour tout.
2) Prier à la moindre occasion.
– Fin de journée :
1) Faire des actions de grâces pour remercier le Seigneur de tout ce qui a été vécu (y compris ce qui est considéré comme négatif, mauvais, inutile, etc.).
2) Faire objectivement un rapide examen de conscience des faiblesses de sa journée et de ses imperfections.
3) Prendre deux ou trois résolutions à accomplir dès le lendemain, si Dieu le permet.
4) Prier.
5) Confier sa nuit à Notre Seigneur.

Balzac, Honoré de : « Il y a deux Histoires : l’Histoire officielle, menteuse qu’on enseigne, puis l’Histoire secrète, où sont les véritables causes des événements, une histoire honteuse. »
BECKETT, Samuel : “Déjà essayé. Déjà échoué. Peu importe. Essaie encore. Echoue encore. Echoue mieux.”
Bellegarrigue, Anselme : « L’anarchie c’est l’ordre, et le gouvernement la guerre civile ». 1848. Lisez Le Manifeste de l’Anarchie
Bellegarrigue, Anselme : « Vous avez cru jusqu’à ce jour qu’il y avait des tyrans ? Eh bien ! vous vous êtes trompés, il n’y a que des esclaves : là où nul n’obéit, personne ne commande. »

Benoît, de Nursie (saint) : médaille de :- Avers de la médaille : Gravé à l’effigie de saint Benoît, généralement entourée de la légende Sanctus Benedictus monachorum Patriarcha, signifiant Saint Benoît, Patriarche des moines.
– Revers de la médaille : Y figure la croix dite de saint Benoît accompagnée de plusieurs séries de lettres :C S P B : « Crux Sancti Patris Benedicti » : Croix du saint Père Benoît.
C S S M L : « Crux Sacra Sit Mihi Lux » : Que la sainte croix soit ma lumière.
N D S M D : « Non Draco Sit Mihi Dux » : Que le dragon ne soit pas mon guide.
V R S N S M V : « Vade Retro Satana, Numquam Suade Mihi Vana » : Retire toi satan, ne me conseille jamais tes vanités.
S M Q L I V B : « Sunt Mala Quae Libas, Ipse Venena Bibas » : Les breuvages que tu offres c’est le mal, bois toi-même tes poisons.
PAX est parfois remplacé par IHS : Iesus Homo Salvator ou, de façon plus communément admise : Iesus, Hominum Salvator (« Jésus Sauveur des hommes »).
Bergier, Jacques : «… J’estime qu’il y a une possibilité pour que ces idées ne soient pas des légendes et pour que la belle forme ronde de la Terre ne constitue qu’une seconde approximation, la forme plate étant la première. Mais comment serait-il possible que la Terre ne soit pas ronde ? Il est difficile de répondre à cette question sans rentrer dans des mathématiques extrêmement compliquées. Mais disons tout de même que les mathématiciens connaissent ce qu’ils appellent des surfaces de Riemann qui sont composées d’un grand nombre de couches qui ne sont ni les unes au-dessus des autres ni les unes au-dessous des autres. Elles occupent simplement le même espace, un espace plus compliqué que l’espace que nous concevons habituellement, un espace qui ne peut être décrit que par des fonctions d’une variable complexe.» (Visa pour une autre Terre)
Bernanos, George : « Les ratés ne vous rateront pas.
Bernanos, George : Je dis que les pauvres sauveront le monde,et ils le sauveront sans le vouloir. Ils le sauveront malgré eux. Ils ne demanderont rien en échange, faute de savoir le prix du service qu’ils auront rendu.

Bernanos, Georges : « Le système qui se présente à nous, ou plutôt dans lequel nous sommes peu à peu absorbés, n’est pas une civilisation, mais une organisation totalitaire et concentrationnaire du monde, qui a pris la civilisation humaine comme de surprise : la dé-spiritualisation de l’homme coïncide avec l’envahissement de la civilisation par les machines, prenant à l’improviste une Europe dé-spiritualisée capable de sacrifier, presque sans lutte, à l’intelligence pratique et à sa brutale efficience, monstrueusement hypertrophiée, toutes les autres formes supérieures de l’activité de l’esprit.
Le champ de notre conscience existentielle a été envahi par des notions d’intérêt, de profit, de compétition. Tout ce qui contient quelque vraie spiritualité, tout ce qui est libre, est visé. « C’est l’âme même que l’on veut atteindre et réduire une fois pour toutes », constatait Charles Péguy au début du 20° Siècle. Ces âmes victimes sont en souffrance, d’abord du fait de leur ignorance des plans subtils invisibles, et à cause d’êtres sur Terre uniquement soucieux de leur confort physique, de leur sécurité matérielle, ou profitant des divertissements dans un contentement niais. (conférence à la Sorbonne en 1947)
Bernard (saint), s’adressant au Pape Eugène III :« Pontife suprême, vous êtes le prince des évêques, l’héritier des apôtres ; Abel, par la primauté ; Noé, par le gouvernement ; Abraham, par le patriarcat ; Melchisédech, par le sacerdoce ; Aaron, par la dignité ; Moïse, par l’autorité ; Samuel, par la judicature ; Pierre, par la puissance ; Christ, par l’onction ! A vous les clefs ont été données, à vous les brebis ont été confiées ! II y a, sans doute, d’autres portiers du ciel, il y a d’autres pasteurs de troupeaux. Mais vous, vous avez hérité d’un nom d’autant plus glorieux qu’il est plus différent des autres ! Les autres ont des troupeaux particuliers, chacun le sien ; vous, vous les avez tous en garde, pasteur unique de l’unique troupeau ! seul, vous êtes le pasteur, non seulement des brebis, mais encore de tous les pasteurs ! »
Bernays, Edward : La manipulation consciente, intelligente, des opinions et des habitudes organisées des masses joue un rôle important dans une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme social imperceptible forment un gouvernement invisible qui dirige véritablement le pays.
Berque, Emmanuel et Maximilien : On est ce que l’on fait, les actions d’une personne déterminent forcément sa personnalité et son caractère. Voir leur film incroyable sur leur Traversée de l’Atlantique en pirogue, sans boussole ni même une montre : rien ! Huit clos sous les étoiles
Bhagavad Gitâ, VI.10 : « L’ascète doit se discipliner sans relâche. Qu’il se fixe en un lieu solitaire, seul avec lui-même, contrôlant son esprit : il n’y a pas d’attente, rien ne lui fait envie » (trad. Marc Ballanfat).
La Boétie, Etienne (de) : Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux.

Bornet, Philippe : Une dictature apparaît quand les douze conditions suivantes sont réalisées dans l’ordre : 1. Désordre dans la rue 2. Impéritie du gouvernement 3. Mécontentement dans l’armée et la police 4. Guerre ou menace de guerre 5. Echec et peur des élites 6. Prestige d’un général 7. Séduction de l’intelligentsia 8. Crédit des pouvoirs financiers 9. Désignation d’un coupable 10. Répartition du butin 11. Changement de Constitution 12. Approbation populaire.

Boulding, Kenneth : Celui qui croit qu’une croissance exponentielle peut continuer pour toujours dans un monde fini est soit un fou, soit … un économiste.
Brock Chisholm, George (1896-1971) : Pour mettre en place un gouvernement mondial, il est nécessaire de retirer des esprits leur individualisme, leur loyauté envers les traditions familiales, leur patriotisme national, et leurs dogmes religieux.
Bukowski, Charles : « A mon avis, c’est ça qui déglingue les gens, de ne pas changer de vie assez souvent. »
Bukowski, Charles : « Si un écrivain ne réussit pas à créer, il est mort. »
Bukowski, Charles : « Je retourne aux putes et au scotch, pendant qu’il est encore temps. Si j’y risque ma peau, il me paraît moins grave de causer sa propre mort que celle des autres. »
Bukowski, Charles : « Comment diable un homme peut-il se réjouir d’être réveillé à 6h30 du matin par une alarme, bondir de son lit, avaler sans plaisir une tartine, chier, pisser, se brosser les dents et les cheveux, se débattre dans le traffic pour trouver une place, où essentiellement il produit du fric pour quelqu’un d’autre, qui en plus lui demande d’être reconnaissant d’avoir cette opportunité ? » Factotum, 1975.
Burke, Edmund : Pour que le mal triomphe, il suffit que l’homme honnête ne fasse rien – OU – Pour que le mal triomphe seule suffit l’inaction des hommes de bien – OU – la seule chose qui permet au mal de triompher est l’inaction des hommes de bien.

Bush, Georges Herbert (père) le 11.09.90 : « Nous avons devant nous l’occasion de construire pour nous-même et pour les générations futures un nouvel ordre mondial. Un monde ou la primauté de la loi, pas la loi de la jungle, régit la conduite des nations. Lorsque nous serons victorieux, et nous le serons , nous aurons une réelle chance avec ce nouvel ordre mondial . Un ordre régi par un conseil crédible qui tiendra enfin son rôle, et maintiendra la paix, afin d’accomplir la promesse et la vision des fondateurs des nations unies. »

Camus, Albert : « Être différent n’est ni une bonne chose ni une mauvaise chose. Cela signifie simplement que vous êtes suffisamment courageux pour être vous-même. »
Camus, Albert : Au milieu de la haine, j’ai trouvé qu’il y avait en moi un amour invincible. Au milieu des larmes, j’ai trouvé qu’il y avait en moi un sourire invincible. Au milieu du chaos, j’ai trouvé qu’il y avait en moi un calme invincible. J’ai réalisé à travers tout cela que, au milieu de l’hiver, il y avait en moi un été invincible, et cela me rend heureux, car il dit que peu importe comment le monde pousse contre moi, en moi, il y a quelque chose plus fort, quelque chose de mieux poussant de retour.

Camus, Albert : La vraie passion du XXème siècle c’est la servitude.
Camus, Albert : Il n’y a qu’une seule liberté, se mettre en règle avec la mort. Après quoi tout est possible.

Camus, Albert (1913-1960) : « Tout ce qui dégrade la Culture raccourcit les Chemins qui mènent à la Serviture. »

Carmet, Jean : « La seule arme que je tolère, c’est le tire-bouchon. »

Carfatan, Serge (prosopopée sur Aldous Huxley) : Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente.
Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées.
Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste.
Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.
Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif.
On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique.
Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser.
On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté.
Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.
L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu.
Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels.
On observe cependant, qu’il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l’argent et du pouvoir.

Carrel, Alexis : l’homme est malade de la civilisation industrielle.

Carson, Donald A.: « Un de mes amis distribuait il y a quelques années des NT sur un campus universitaire américain gratuitement à la seule condition que les étudiants promettent de le lire. Quelques semaines après, il rencontra un étudiant, à qui il en avait donné un, et lui demanda s’il l’avait lu. Celui-ci, qui jusque là ignorait tout de la Bible, lui répondit : « Oui, j’ai tout lu. Mais c’est un livre bizarre. Au début, c’est très répétitif ; on trouve la même histoire quatre fois. Mais j’ai beaucoup aimé la partie de science-fiction à la fin. »
Céline, Louis-Ferdinand : « En écriture, il faut mettre sa peau sur la table. »
Céline, Louis-Ferdinand : “La vérité, c’est une agonie qui n’en finit pas. La vérité de ce monde c’est la mort. Il faut choisir, mourir ou mentir.”

Céline, Louis-Ferdinand (attribué à) : “Être conquérant ou conquis”, seul dilemme, ultime vérité. Tout le reste n’est qu’imposture et rabâcheries électorales.

Chapoutot, Johann, sur le nazisme : « les trois axiomes sont : procréer, combattre, régner, et pour cela, faire le vide et éliminer tout ennemi. »
Charles, Dylan : Mais il y a bien plus en réalité que ce que nous pouvons voir, sentir, entendre, goûter et toucher. En fait, un bilan de la matière qui compose l’univers révèle qu’environ 73 pour cent de celle-ci est constituée d’énergie noire, et 23 pour cent de matière noire, dont on ne peut ni voir, ni comprendre. De plus, l’œil humain n’est capable de voir qu’environ 0,0035 pour cent du spectre total des rayonnements électromagnétiques. Quand on regarde dans les cieux, 96 pour cent d’entre eux nous sont invisibles. Incluez dans cet invisible les royaumes spirituels et c’est tout un univers de possibilités qui existe au-delà de nos cinq sens.
Chihiro, le voyage de : « commence par finir ce que tu commences »  (le vieux Kamaji )
Chomsky, Noam : Le pouvoir ne souhaite pas que les gens comprennent qu’ils peuvent provoquer des changements.
Chomsky, Noam – 10 stratégies de manipulation de masse :
1) DISTRACTION : distraire et détourner l’attention,
2) PROBLÈME-RÉACTION-SOLUTION : créer des problèmes suscitant des réactions puis offrir des « solutions » préparées en amont,
3) SUR-SENSIBILISER : faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion,
4) AUTO-CULPABILISATION : les gens seraient totalement responsables de leurs malheurs. Remplacer la révolte par la culpabilité, annuler la révolte,
5) DIFFÉRER : différer les informations pour faire perdre en cohérence : « une mesure qui fait mal aujourd’hui fera du bien plus tard »,
6) INFANTILISER : s’adresser au public comme à de jeunes enfants,
7) ABÊTIR : maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise, endormir la curiosité pour le savoir, et accorder peu de valeur aux produits de l’intelligence.
8) RENDRE PASSIF : encourager le public à se maintenir dans la médiocrité, les médias inondent les masses, addicts aux écrans, de nouvelles modes et tendances, la plupart d’entre elles tournant autour de modes de vie ridicules, superflus ou même stupides.
9) BIG-DATA+DONNER PEU D’INFORMATIONS : connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes, et les laisser dans l’ignorance d’une réalité conçue par d’autres (storytelling),
10) GRADUALITÉ : appliquer peu à peu des mesures que le peuple rejetterait d’emblée.

Churchill, Winston : « Être homme politique, c’est être capable de prédire ce qui va arriver demain, la semaine prochaine, le mois prochain, l’année prochaine. Et d’être capable, après, d’expliquer pourquoi rien de tout cela ne s’est produit. »

Churchill, Winston : La démocratie ne tient qu’à trois repas par jour.

Cocteau, Jean : « Les miroirs feraient bien de réfléchir un peu plus avant de renvoyer les images ».

Cioran, Emil : Un livre doit remuer des plaies, en provoquer même. Un livre doit être un danger.

Cohen, William S. – Secrétaire à la Défense, 28 avril 1997, 8:45 :
« Il existe certains rapports selon lesquels certains pays auraient essayé de mettre au point quelque chose comme le Virus Ebola, et cela serait un phénomène pour le moins dangereux… Certains scientifiques dans leurs laboratoires tentent de concevoir certains types d’agents pathogènes qui seraient dirigées contre un groupe ethnique précis de sorte qu’ils pourraient éliminer uniquement certains groupes ethniques et certaines races ; et d’autres préparent certains types d’ingénierie, certains types d’insectes qui peuvent détruire des cultures spécifiques. D’autres s’engagent même dans un terrorisme de type écologique par lequel ils parviendraient à altérer le climat, déclencher des séismes ou des volcans à distance au moyen d’ondes électromagnétiques. » – Département de la Défense

Congruence, def. : (Psychologie) Correspondance exacte entre l’expérience et la prise de conscience. « Je fais ce que je dis, je dis ce que je fais ».

Collectif : APPEL POUR L’ÉGLISE ET POUR LE MONDE aux fidèles Catholiques et aux hommes de bonne volonté – extraits :

« Les faits ont montré que, sous prétexte de l’épidémie de Covid-19, en bien des cas les droits inaliénables des citoyens ont été violés, en limitant d’une manière disproportionnée et injustifiée leurs libertés fondamentales, y compris l’exercice de la liberté de culte, d’expression et de mouvement. La santé publique ne doit pas et ne peut pas devenir une excuse pour bafouer les droits de millions de personnes dans le monde, et encore moins pour exonérer l’autorité civile de son devoir d’agir avec sagesse pour le bien commun; cela est d’autant plus vrai que les doutes croissent quant à l’effective contagiosité, à la dangerosité et à la résistance du virus: de nombreuses voix faisant autorité dans le monde de la science et de la médecine confirment que l’alarmisme à propos du Covid-19 amplifié par les médias ne semble absolument pas justifié. » […]

« Nous avons des raisons de croire – sur la base des données officielles relatives à l’incidence de l’épidémie, et sur celle du nombre de décès – qu’il existe des pouvoirs fort intéressés à créer la panique parmi la population dans le seul but d’imposer de façon permanente des formes de limitation inacceptables de la liberté, de contrôle des personnes, de suivi de leurs mouvements. Ces formes de limitations liberticides sont un prélude inquiétant à la création d’un Gouvernement Mondial hors de tout contrôle. » […]

Darwin, Charles : Un homme qui ose perdre une heure n’a pas découvert la valeur de la vie.
De Gaulle, Charles : « Comme un homme politique ne croit jamais ce qu’il dit, il est étonné quand il est cru sur parole. »

DE GAULLE, Charles : “C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu’on ne se raconte pas d’histoires ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leur djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français ! Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l’intégration, si tous les Arabes et Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées !”
[Conversation entre de Gaulle et Alain Peyrefitte le 5 mars 1959 suite aux événements d’Algérie, in « C’était de Gaulle », tome 1, Alain Peyrefitte, éd. éditions de Fallois/Fayard, 1994 (ISBN 978-2-213-02832-3), p. 52]

De Maistre, Joseph : « Toute politique humaniste, ne prenant pas en compte la dimension spirituelle de l’homme est invariablement vouée à l’échec. »
DeLong, Brad :  Stratégies pour lire des livres ardus :
1. Déterminez au préalable ce que l’auteur ou l’autrice essaie d’accomplir à travers ce livre.
2. Orientez-vous en devenant le genre de lecteur ou de lectrice à qui ce livre est adressé (le genre de personne chez qui les arguments développés pourraient résonner).
3. Lisez le livre activement, en prenant des notes.
4. Musclez chaque argument, retravaillez-le jusqu’à ce que vous le trouviez aussi convaincant et clair que possible.
5. Trouvez une personne (pourquoi pas votre colocataire) et ennuyez-la mortellement en lui demandant de vous écouter reformuler votre version «musclée» de l’argument.
6. Reprenez chaque élément tant qu’il le faut, lisez le livre de façon bienveillante mais pas crédule.
7. Vous serez alors en bonne position pour découvrir les éventuelles faiblesses de tel ou tel argument massue.
8. Confrontez les affirmations et interprétations majeures à la réalité: ont-elles du sens dans le contexte du monde où nous vivons?
9. Décidez ce que vous pensez du livre dans son intégralité.
10. Arrive alors l’étape où vous devrez sceller votre interprétation, votre lecture, dans votre esprit, de façon à ce que tout cela intègre votre panoplie intellectuelle pour le futur.»

(Des)cartes, de Crédit : « Je dépense donc je suis. »

Desjardins, Daniel : « Votre coeur va vous guider là où vous ne saviez même pas que vous vouliez aller ».

Diderot, Denis : La nature n’a fait ni maîtres, ni serviteurs, c’est pourquoi je ne veux ni obéir, ni commander.

D’Ormesson, Jean : « Il y a quelque chose de plus fort que la mort, c’est la présence des absents, dans la mémoire des vivants. »
Dr. Ben-Ishai :  » Les fréquences 5G vont nous atteindre avec des longueurs d’ondes qui interagissent avec la structure géométrique de notre peau… En 2008, nous avons constaté que les pores de la peau fonctionnent comme des antennes hélicoïdales… Chaque pore est une partie intégrante du mécanisme d’absorption d’énergie électromagnétique. Toute votre peau fonctionne comme une antenne, en modifier le fonctionnement naturel par des ondes pourrait être dramatique. »

DRUMONT, Edouard : « Ce qui fait la plus-value de l’homme, c’est la diminution de la crainte. […] Le premier devoir pour un homme, c’est encore celui de subjuguer la Crainte. Il nous faut devenir francs de Crainte ; nous ne pouvons pas agir du tout jusqu’alors. Les actes d’un homme sont serviles, non vrais, mais spécieux ; ses pensées mêmes sont fausses, il pense aussi comme un esclave et un couard jusqu’à ce qu’il ait réussi à mettre la Crainte sous ses pieds. Pour un homme c’est une nécessité d’être, un devoir et une nécessité, d’être vaillant ; une nécessité de marcher en avant, et de s’acquitter en homme, s’en remettant imperturbablement à la désignation et au choix des Puissances d’en haut et, en résumé, de ne pas craindre du tout. Maintenant et toujours, le degré plus ou moins complet de sa victoire sur la Crainte déterminera en quelle mesure il est homme. » (La Fin d’un Monde)

DUMAS, Alexandre : « Je vous ai fait apprendre à manier l’épée; vous avez un jarret de fer, un poignet d’acier; battez-vous à tout propos; battez-vous d’autant plus que les duels sont défendus, et que, par conséquent, il y a deux fois du courage à se battre. »

Durden, Tyler : « Vous n’êtes pas votre travail. Vous n’êtes pas votre compte en banque. Vous n’êtes pas votre voiture. Vous n’êtes pas votre portefeuille, ni votre putain de treillis. Vous êtes la merde de ce monde prête à servir à tout. » Fight Club.
Dweck, Carol : “Dans l’état d’esprit de développement, l’échec peut être une expérience douloureuse. Mais il ne vous définit pas. C’est un problème à affronter, à résoudre, et duquel on peut apprendre”

Ecclésiaste, 7:11 : « Le jour du bonheur sois heureux, et le jour du malheur réfléchis ! Dieu a fait l’un comme l’autre, afin que l’homme ne puisse absolument pas découvrir ce qui se passera après lui. »
Einstein, Albert : « La logique vous mènera de A à B. L’imagination vous mènera où vous voulez. »
Einstein, Albert : Ne faites jamais rien contre votre conscience même si l’État vous le demande.
Einstein, Albert : « On ne résout pas un problème avec l’esprit qui l’a engendré. »
Einstein, Albert :  Que la curiosité survive à l’éducation officielle relève du miracle.
Ère de Post-vérité (dict. Oxford) : « qui fait référence à des circonstances dans lesquelles les faits objectifs ont moins d’influence pour modeler l’opinion publique, que les appels à l’émotion et aux opinions personnelles. »

Le discours de fin de mandat de Dwight D. Eisenhower : « Dans les assemblées du gouvernement, nous devons donc nous garder de toute influence injustifiée, qu’elle ait ou non été sollicitée, exercée par le complexe militaro-industriel. Le risque d’une désastreuse ascension d’un pouvoir illégitime existe et persistera. Nous ne devons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés et nos processus démocratiques. Nous ne devrions jamais rien prendre pour argent comptant. Seule une communauté de citoyens prompts à la réaction et bien informés pourra imposer un véritable entrelacement de l’énorme machinerie industrielle et militaire de la défense avec nos méthodes et nos buts pacifiques, de telle sorte que sécurité et liberté puissent prospérer ensemble. » [Voici le fameux discours testament du président Eisenhower sur le « complexe militaro-industriel » – il n’y a plus qu’à remplacer ceci par « complexe banco-financier ».]       OU, ci-dessous :

« Des crises, il y en aura d’autres. Quand on les affronte, qu’elles soient intérieures ou étrangères, grandes ou petites, il y a toujours la tentation de penser qu’une action spectaculaire et coûteuse pourrait être la solution miraculeuse à toutes les difficultés rencontrées […], présentée comme la seule voiepour la route que nous souhaitons suivre.
Cependant chaque proposition doit être pesée à la lumière d’une considération plus large : la nécessité de maintenir l’équilibre : équilibre entre les [différents] programmes nationaux et à l’intérieur [de chacun d’entre eux], équilibre entre économie publique et économie privée, équilibre entre le coût et le gain espéré, équilibre entre le nettement nécessaire et le confortablement souhaitable, équilibre entre nos exigences essentielles en tant que nation et les devoirs imposés par la nation à l’individu, équilibre entre les actions du présent et le bien-être futur de la nation. Le jugement sage recherche équilibre et progrès ; son manque amène déséquilibre et anéantissement. […]

Mais des menaces nouvelles […] surgissent constamment. Je n’en mentionnerai que deux ici. […]

La présence simultanée d’un énorme secteur militaire et d’une vaste industrie de l’armement est un fait nouveau dans notre histoire. Cette combinaison de facteurs a des répercussions — d’ordre politique, économique et même spirituel – perceptibles dans chacune de nos villes, dans les chambres législatives de chacun des États qui constituent notre pays, dans chaque bureau de l’administration fédérale. Certes, cette évolution répond à un besoin impérieux. Mais nous nous devons de comprendre ce qu’elle implique, car ses conséquences sont graves. Notre travail, nos ressources, nos moyens d’existence sont en jeu, et jusqu’à la structure même de notre société.

Nous devons veiller à empêcher le complexe militaro-industriel d’acquérir une influence injustifiée dans les structures gouvernementales, qu’il l’ait ou non consciemment cherchée. Nous nous trouvons devant un risque réel, qui se maintiendra à l’avenir : qu’une concentration désastreuse de pouvoir en des mains dangereuses aille en s’affermissant. Nous devons veiller à ne jamais laisser le poids de cette association de pouvoirs mettre en danger nos libertés ou nos procédures démocratiques. Nous ne devons jamais rien considérer comme acquis. Seul un peuple informé et vigilant réussira à obtenir que l’immense machine industrielle et militaire qu’est notre secteur de la défense nationale s’ajuste sans grincement à nos méthodes et à nos objectifs pacifiques, pour que la sécurité et la liberté puissent prospérer ensemble. […]

C’est la tâche de l’homme d’État que de mouler, équilibrer, intégrer toutes ces forces, anciennes et nouvelles, dans les principes de notre système démocratique – en visant toujours à atteindre les buts suprêmes de notre société libre.

Un autre facteur de maintien de l’équilibre implique l’élément de temps. Alors que nous envisageons la société future, nous – vous et moi, et notre gouvernement – devons éviter la tentation de vivre seulement pour le présent, pillant pour notre propre aisance et confort, les précieuses ressources de demain. Nous ne pouvons pas hypothéquer les biens matériels de nos petits-enfants sans risquer également de dilapider leur héritage politique et spirituel. Nous voulons que la démocratie survive pour toutes les générations à venir, et non pas qu’elle devienne le fantôme insolvable de demain. »

[Dwight Eisenhower, Discours de fin de mandat resté connu sous le nom du Discours du Complexe Militaro-Industriel, 17/01/1961]

Feynman, Richard : « Vous pouvez connaître le nom d’un oiseau dans toutes les langues du monde, mais quand vous avez terminé, vous ne saurez absolument rien du tout sur l’oiseau. Alors regardons l’oiseau et observons ce qu’il fait — c’est cela qui compte. »:
1 – Prenez connaissance avec le sujet. Choisissez vos sources puis lisez, étudiez… vous savez faire. Une fois que vous savez de quoi ça parle, sortez une feuille de papier et un crayon, c’est là que ça devient intéressant.
2 – Enseignez le. Imaginez que vous faites la leçon à quelqu’un qui ne connaît pas le sujet. Utilisez votre feuille comme un professeur utiliserait un tableau : notez les idées, faites des schémas, organisez vos connaissances, vous pouvez même parler à voix haute en même temps. Il faut expliquer le tout dans un langage simple. Essayez d’être clair et de relier les idées entre elles. Anticipez les questions que l’on pourrait vous poser.
3 – Réapprenez. En enseignant, vous allez vous rendre compte que vous avez des lacunes que vous ignoriez. Dès que vous n’arrivez plus à vous exprimer simplement ou que vous réalisez qu’une partie vous échappe, revenez à la source et étudiez la partie que vous ne comprenez pas bien. Une fois celle-ci assimilée, revenez à l’étape 2 et enseignez la. Répétez les parties 2 et 3 autant de fois que nécessaire jusqu’à pouvoir tout expliquer sans avoir besoin de vos sources.
4 – Expliquez à un enfant. Simplifiez, simplifiez, simplifiez. Expliquez le concept de la manière la plus simple et la plus fluide possible, de sorte qu’un enfant pourrait le comprendre. Relisez vos notes et assurez-vous de ne pas avoir de vocabulaire technique ou de phrases alambiquées. Pour vous en assurer, vous pouvez relire vos notes à voix haute. Feynman recommande l’utilisation d’analogies : elles permettent de rattacher le concept à des idées concrètes et déjà connues. Si vous ne pouvez pas expliquer le concept de manière simple, c’est que vous ne l’avez pas bien compris.
Feynmann, R. : « Je préférerais avoir des questions auxquelles on ne peut répondre que des réponses qui ne peuvent être remises en doute ».

Feuerbach, Ludwig : « Et sans doute notre temps préfère l’image à la chose, la copie à l’original, la représentation à la réalité, l’apparence à l’être. Ce qui est sacré pour lui, ce n’est que l’illusion, mais ce qui est profane, c’est la vérité. Mieux, le sacré grandit à ses yeux à mesure que décroît la vérité et que l’illusion croît, si bien que le comble de l’illusion est aussi pour lui le comble du sacré. »
FLYNN, Ted : … peu de gens réalisent jusqu’à quelles profondeurs s’enfoncent les racines de cette secte. La franc-maçonnerie est peut-être aujourd’hui la plus grande puissance séculière organisée de la terre et elle se bat frontalement et quotidiennement contre les choses de Dieu. C’est une puissance qui détient le contrôle du monde, opérant dans les coulisses, dans les domaines bancaires et politiques, et elle a efficacement infiltré toutes les religions. La Franc-maçonnerie est une secte secrète mondiale qui sape l’autorité de l’Église catholique avec un agenda occulte dans ses degrés supérieurs dont l’objectif est de détruire la papauté.
Foucauld, Charles de : Pense que tu dois mourir martyr, dépouillé de tout, étendu à terre, nu, méconnaissable, couvert de  sang et de blessures, violemment et douloureusement tué… Et désire que ce soit aujourd’hui. Considère que c’est à cette mort que doit aboutir ta vie.
Jean de la Croix : Qui aura su mourir à tout, aura vie en tout.
François (Pape) : Les saints dérangent parce que leurs vies nous invitent à sortir de la médiocrité.

François d’Assise (Saint) :
Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix,
Là où est la haine, que je mette l’amour.
Là où est l’offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l’union.
Là où est l’erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l’espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.Ô Seigneur, que je ne cherche pas tant
à être consolé qu’à consoler,
à être compris qu’à comprendre,
à être aimé qu’à aimer.Car c’est en se donnant qu’on reçoit,
c’est en s’oubliant qu’on se retrouve,
c’est en pardonnant qu’on est pardonné,
c’est en mourant qu’on ressuscite à l’éternelle vie.

Franklin, Benjamin : Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux.

Gandhi : Vivre simplement pour que d’autres puissent simplement vivre.
Gates, Bill : Les rassemblements de masse ne reviendront pas sans vaccin mondial.
Genèse 3 : 19. « Souviens-toi, homme, que tu es poussière et que tu redeviendras poussière ». Memento, homo, quia pulvis es, et in pulverem reverteris
Girardin, Emile de : Gouverner c’est prévoir, ne rien prévoir c’est courir à sa perte.

Georgie Guidestones : (1) Maintenez l’humanité en dessous de 500 millions d’individus en perpétuel équilibre avec la nature.
(2) Guidez la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité
(3) Unissez l’humanité avec une nouvelle langue mondiale.
(4) Traitez de la passion, de la foi, de la tradition et de toutes les autres choses avec modération.
(5) Protégez les personnes et les nations avec des lois et des tribunaux équitables.
(6) Laissez toutes les nations régler leurs problèmes externes et internes devant un tribunal mondial.
(7) Évitez les lois et les fonctionnaires inutiles.
(8) Équilibrez les droits personnels et les devoirs sociaux.
(9) Faites primer la vérité, la beauté, l’amour en recherchant l’harmonie avec l’infini.
(10) Ne soyez pas un cancer sur la terre, laissez une place à la nature.

Glass, John : « Le vrai chrétien »:
Manifeste la joie (1 Jn 1.1–4).
Marche dans la lumière (1 Jn 1.5–7)
Confesse ses péchés (1 Jn 1.8–2.2)
Garde les commandements de Dieu (1 Jn 2.3–6; 5.1)
Aime son frère (1 Jn 2.7–11; 3.11–24; 4.7–21)
N’aime pas le monde (1 Jn 2.15–17; 5.4–5)
Demeure fidèle (1 Jn 2.18–29)
Se purifie (1 Jn 3.1–3)
Ne pratique pas le péché (1 Jn 3.4–10)
Éprouve les esprits (1 Jn 4.1–6)
Croit que Jésus est le Christ (1 Jn 5.1)
A l’assurance du salut (1 Jn 5.13)
Ne commet pas le péché qui mène à la mort (1 Jn 5.16–19)
Se garde des idoles (1 Jn 5.20–21)

Gourmont, Remy de : « Ce qu’il y a de terrible quand on cherche la vérité, c’est qu’on la trouve ».
Grégoire le Grand (saint) : Si le scandale vient de la vérité, il faut supporter le scandale plutôt qu’abandonner la vérité.
Gyatso, Tenzin (XIVème Dalaï-lama) : Une précieuse vie humaine. Chaque jour, pense lorsque tu te réveilles : Aujourd’hui, je suis privilégié de m’être réveillé, je suis en vie, j’ai une précieuse vie humaine, et je ne vais pas la gaspiller. Je vais utiliser toute mon énergie pour me développer, étendre mon coeur vers les autres, et atteindre l’éveil pour le bien de tous les autres. J’aurai des pensées positives pour les autres, je ne me mettrai pas en colère, ou ne penserai pas négativement à propos des autres. Je serai utile autant que possible à autrui.

Hafiz : Celui à qui l’Amour a donné la Vie ne mourra jamais. Ainsi l’Éternité de notre existence est inscrite sur les feuillets de l’univers.

Sir John Harrington : « La trahison ne prospère jamais ; quelle en est la raison ? Parce que si elle prospère, personne n’ose l’appeler trahison ».

Hegel : l’historien est le prophète du passé.

Heine, Heinrich : Ce n’était qu’un début. Là où on brûle des livres, on finit par brûler des hommes.

Hitchens, Peter :
« Quand cette folie a commencé, je me suis comporté comme si une nouvelle religion fanatique se répandait parmi nous. Soyons polis et tolérants, ai-je pensé. C’est peut-être fou et nuisible, mais avec le temps, cela disparaîtra. Aujourd’hui, il est clair qu’une nouvelle croyance, fondée sur la peur de l’invisible et tout à fait immunisée contre la raison, a pratiquement pris le dessus sur le pays. Et il s’avère que c’est l’une de ces religions qui ne tolèrent pas beaucoup ceux qui ne la partagent pas. Ses évangélistes ne nous laissent pas de répit, mais tirent sur la corde pour nous forcer à les rejoindre. C’est pourquoi je fais tant d’histoires sur l’injonction des muselières pour tous. Ce n’est pas une question de santé. C’est une question de pouvoir et de liberté, et cela a de moins en moins à voir avec le Covid-19. Cette obsession de nous dire à quoi il faut ressembler et de nous transformer d’humains normaux en animaux de troupeau soumis et sans bouche, tous sanglés dans un uniforme obligatoire, fait partie, à mon avis, d’une attaque sans précédent contre notre liberté personnelle en général. Restez chez vous. Arrêtez de travailler. Ne voyez pas vos amis ou votre famille. Soumission, soumission, soumission. Habituez-vous à ce qu’on vous dise ce que vous devez faire. Il semble que nous soyons vraiment devenus une nation de masochistes capitulards. »
Hitler, Adolphe : Si vous me laissez prendre le contrôle des livres scolaires, alors je contrôlerai l’Etat.
Hitler, Adolphe : « Un mensonge répété dix fois reste un mensonge; répété dix mille fois il devient une vérité. »
Homo Sovieticus : « Ils font semblant de nous payer, alors nous faisons semblant de travailler ».

Hollande, François le 25.09.12 : « La France veut que l’ONU soit le centre, le cadre de la gouvernance mondiale. »

Hübl, Milan : « Pour liquider les peuples, on commence par leur enlever leur mémoire. On détruit leurs livres, leur culture, leur histoire. Puis quelqu’un d’autre écrit d’autres livres, leur donne une autre culture, leur invente une autre histoire. Ensuite, le peuple commence lentement à oublier ce qu’il est, et ce qu’il était. Et le monde autour de lui l’oublie encore plus vite. »
Hugo, Victor : « Même la nuit la plus sombre prendra fin… et le soleil se lèvera. »
Hugo, Victor : « Il faut s’aimer, et puis il faut se le dire, et puis il faut se l’écrire, et puis il faut se baiser sur la bouche, sur les yeux et ailleurs. »
Hugo, Victor : L’esprit s’enrichit de ce qu’on lui donne et le coeur, de ce qu’il donne.
Hugo, Victor : Le temps brise et disperse la réalité, ce qui reste devient mythe et légende.
Hugo, Victor : Savoir, penser, rêver. Tout est là.
Hugo, Victor : La liberté commence là où l’ignorance finie.

Huxley, Aldous : « La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude. »

Huxley, Aldous : « Le monde est stable, à présent. Les gens sont heureux ; ils obtiennent ce qu’ils veulent, ils ne veulent jamais ce qu’ils ne peuvent obtenir. Ils sont à l’aise ; ils sont en sécurité ; ils ne sont jamais malades ; ils n’ont pas peur de la mort ; ils sont dans une sereine ignorance des passions et de la vieillesse ; ils ne sont encombrés de nuls pères ni mères ; ils n’ont pas d’épouses, pas d’enfants, pas d’amants, au sujet desquels ils pourraient éprouver des émotions violentes ; ils sont conditionnés de telle sorte que, pratiquement, ils ne peuvent s’empêcher de se conduire comme ils le doivent. Et si par hasard quelque chose allait de travers, il y a le soma. »
Huxley, Aldous : Un état totalitaire vraiment efficient serait celui dans lequel le tout-puissant comité exécutif des chefs politiques et leur armée de directeurs aurait la haute main sur une population d’esclaves qu’il serait inutile de contraindre, parce qu’ils auraient l’amour de leur servitude. La leur faire aimer – telle est la tâche assignée dans les Etats totalitaires d’aujourd’hui aux ministères de la propagande, aux rédacteurs en chef des journaux et aux maîtres d’école.
Huxley, Aldous : La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident. La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter.
Huxley, Aldous : A l’avenir, on fera aimer aux gens leur servitude, ce qui produira une dictature sans peurs, une sorte de camp de concentration sans douleur pour des sociétés entières, avec des citoyens privés de leurs libertés mais qui aimeront cette situation, parce qu’ils seront détournés de tout désir de se rebeller par la propagande ou le lavage de cerveau, appuyé ou non par des méthodes pharmacologiques.

Jaccard, Roland : « Je ne laisserai personne dire que vingt ans n’est pas l’âge le plus réjouissant. La vie se charge ensuite de défaire nos rêves et de ruiner nos ambitions. On ne voulait ressembler à personne et nous voici devenus des êtres ordinaires. Ce qui était tout pour nous se métamorphose en passions mesquines. Et, les années passant, on se retrouve dans un monde autre, tellement différent de celui auquel nous avons cru, que nous nous demandons si nous ne l’avons pas rêvé. Pire encore, nous n’avons plus personne avec qui le partager. »
Jacq, Christian : « Selon les anciens Égyptiens, la mort n’est pas une fin, mais un jugement et un passage. Jugement, car les défunts comparaissent devant le tribunal d’Osiris, mort et ressuscité. Si leur existence terrestre a violé la règle de Maât, rectitude, justesse et harmonie de l’univers, ils sont condamnés à la « seconde mort », l’anéantissement. En revanche, les êtres reconnus « justes de voix » deviennent des Osiris et franchissent la frontière entre le périssable et l’immortel pour découvrir les paysages et les paradis de l’autre monde. » Paysages et paradis de l’autre monde selon l’Egypte ancienne.
Jaurès, Jean : Il ne peut y avoir révolution que là où il y a conscience.
Jean de la Croix : À la fin du jour, c’est sur l’amour qu’on vous examinera. Apprenez donc à aimer Dieu comme il désire l’être  et laissez là ce que vous êtes.

Jean de Patmos, « le Presbytre » (Apocalypse 13 : 16-17) :
16 Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front,
17 et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom.

Jean de Saint-Samson : « Pour ce qui est du regard divin, lequel demeure pour jamais dans l’âme, l’agitant et la ravissant par son active impétuosité, très simple et très subtile ; ce n’est autre chose que Dieu même, au-delà de tout être et non-être, transformant l’âme par sa très spirituelle agitation, actuelle et en suressentielle unité ; qui fait que l’âme qui est tirée et agitée n’est plus en soi, et n’a plus rien de soi, ni des choses créées. Elle est Dieu même en quelque manière, vû qu’elle est entièrement anéantie, tant à elle qu’à toutes choses ; et transformée par l’acte continuel de Dieu même, en sa mêmeté suressentielle, et est comme impossible à une telle âme, d’en être distraite, ni tant soit peu séparée. » Le Cabinet mystique.

« Jeanne Traduction » (Youtube) : Ils ont essayé de nous enterrer. Ils ne savaient pas que nous étions des graines.

JEFFERSON, Thomas (président) : Je crois sincèrement que les établissements bancaires sont plus dangereux que les armées permanentes ; et que le principe de dépenser de l’argent qui devra être remboursé par la postérité, sous l’appellation de financement, n’est rien d’autre qu’une escroquerie à grande échelle mettant en péril l’avenir.

Jehanne d’Arc, sainte : 21 juin 1429 à Saint Benoît-sur-Loire, Jeanne, Dieu et le roi : la triple donation

Le 21 juin 1429, Jehanne dit à Charles : « Sire, me promettez-vous de me donner ce que je vous demanderai ? » Le Roi hésite, puis consent. « Sire, donnez-moi votre royaume ». Le Roi, stupéfait, hésite de nouveau ; mais, tenu par sa promesse et subjugué par l’ascendant surnaturel de la jeune fille : « Jehanne, lui répondit-il, je vous donne mon royaume » (1 ére donation). Cela ne suffit pas : la Pucelle exige qu’un acte notarié en soit solennellement dressé et signé par les quatre secrétaires du Roi ; après quoi, voyant celui-ci tout interdit et embarrassé de ce qu’il avait fait : « Voici le plus pauvre chevalier de France : il n’a plus rien ». Puis aussitôt après, très grave et s’adressant aux secrétaires : « Écrivez, dit-elle : « Jehanne donne le royaume à Jésus-Christ »» (2 éme donation) Et bientôt après : « Jésus rend le royaume à Charles » (3 ème donation)

Jésus-Christ : Je suis le Pain de Vie; Je suis la Lumière; Je suis la Porte du Salut; Je suis le bon berger; Je suis la résurrection et la Vie; « C’est moi qui suis le chemin, la vérité et la vie. On ne vient au Père qu’en passant par moi ». Je suis le vrai cep, et mon Père est le vigneron. Je suis celui qui est, Je suis celui qui suis.
Jésus-Christ : Si le grain de blé ne tombe en terre et ne meurt, il reste seul; s’il meurt il porte beaucoup de fruits. Jean 12:24

Jordan, Mickael : “J’ai raté 9000 tirs dans ma carrière. J’ai perdu presque 300 matchs. 26 fois, on m’a fait confiance pour prendre le tir de la victoire et j’ai raté. J’ai échoué encore et encore et encore dans ma vie. Et c’est pourquoi j’ai réussi.”
Jorion, Paul : « Il y a surement quelqu’un quelque part qui s’en occupe ». Chaque problème serait ainsi réglé, selon nos croyances…

Jovanovic, Pierre – sur Jeanne d’Arc :
« Pour bien nous rendre compte de ce qui arrivé à Jeanne d’Arc, transposons un instant les événements de sa vie de nos jours, et, puisque les bergères n’existent plus, imaginons à sa place une jeune fille noire, vierge, âgée de seize ans, caissière de supermarché, catholique pratiquante, nommée Joan Arrow.
Joan entend une voix intérieure lui expliquer qu’elle doit se rendre à la Maison-Blanche pour y rencontrer le Président. Là, elle devra lui demander des forces de police pour l’aider à combattre les trafiquants de drogue. Par une série de coïncidences invraisemblables, Joan se rend à Washington alors qu’elle n’a pas un cent en poche, rencontre le Président alors qu’il faisait son footing et lui parle. Elle finit par le convaincre, ainsi que ses conseillers, de lui donner deux ou trois unités spéciales antigang pour nettoyer le pays des « dealers »… A la tête de ces unités, elle qui n’a jamais mis les pieds dans un commissariat ou une académie, et toujours à l’aide de ses « voix », Joan nettoie en quelques mois Atlanta, New York, Detroit et Miami de tous les vendeurs de drogue. Les trafiquants, effrayés par sa puissance, moyennant plusieurs millions de dollars, achètent les fonctionnaires de la ville de Los Angeles où elle vient justement d’entamer son nettoyage massif.
Arrêtée par la police de Los Angeles pour excès de vitesse, elle est passée à tabac par une dizaine de policiers, violée, torturée, avant d’être livrée aux psychiatres qui décident de l’interner parce qu’elle affirme entendre la voix de l’archange Michael. Dans l’asile, un jour de promenade, les vrais malades mentaux l’attachent et la brûlent pour « voir ce que ça fait ». Fin.
Cela paraît totalement stupide comme scénario, mais c’est exactement ce qui arrivé à Jeanne d’Arc, dite « la Pucelle d’Orléans », fille de laboureurs, voilà cinq siècles de cela et qui représente aujourd’hui l’une des plus grandes énigmes de l’Histoire : on a recensé plus de treize mille documents historiques, assortis de dix mille ouvrages et dossiers écrits sur elle, ce qui laisse supposer que son activité militaire dura au moins une bonne trentaine d’années.
Pourtant la carrière de cette adolescente ne dura que deux ans (de 1429 au 30 mai 1431) ce qui tend à donner un certain poids à ces supposées voix à l’origine de sa croisade contre les Anglais. » . Enquête sur l’existence des Anges Gardiens

Jung, Carl Gustav : « On consacre la première moitié de sa vie à se forger un ego solide, et la seconde moitié à s’en débarrasser ».
Jung, Carl Gustav : Votre vision devient claire lorsque vous pouvez regarder dans votre cœur. Celui qui regarde à l’extérieur de soi ne fait que rêver ; celui qui regarde en soi se réveille.

Keats, John : Certains disent que c’est une vallée de larmes. Je dis que c’est un lieu où se forger une âme.

Kalu/Kalou Rinpoché : Mon conseil,
Ne soyez pas bouddhiste.
En fin de compte, tout est question de gain personnel,
célébrité et affaires.
Sois juste une personne avec un bon cœur,
c’est le sens
d’un vrai praticien du Dharma.
Nous vivons dans l’illusion
et l’apparence des choses.
Il y a une réalité. Nous sommes cette réalité.
Quand tu comprends ça,
tu vois que tu n’es rien,
et n’étant rien, vous êtes tout.
C’est tout.

Kalou Rinpoché : En elle-même, la pratique de Mahâmudrâ est extrêmement simple et facile,
Il n’y a pas de visualisation ni d’exercices compliqués,
Il n’y a rien à faire,
Il suffit seulement de laisser l’esprit en son état naturel,
tel qu’il est, comme il vient, sans artifice, c’est extrêmement simple.
Dans la tradition du Mâhamudrâ, il est dit que Mâhamudrâ est :
– trop proche pour être reconnu,
– trop profond pour être saisi,
– trop simple pour être cru,
– trop merveilleux pour être compris par l’intellect.
Tels sont les quatre obstacles qui empêchent de reconnaître Mâhamudrâ.

Kennedy, Robert Jr/ (Hermann Göring ?) : « Il y a soixante-quinze ans, on a demandé à Hermann Göring, lors du procès de Nuremberg, comment les Allemands avaient pu accepter tout cela » Göring a répondu : « C’est très facile et ça n’a rien à voir avec le nazisme ; cela a à voir avec la nature humaine. Vous pouvez le faire dans un régime nazi, socialiste, communiste, dans une monarchie ou une démocratie : la seule chose dont un gouvernement a besoin pour transformer les gens en esclaves est la peur. Si vous pouvez trouver quelque chose pour les effrayer, vous pouvez leur faire faire tout ce que vous voulez. » « La seule chose dont un gouvernement a besoin pour transformer les gens en esclaves est la peur. »

Kissinger, Henry : « Aujourd’hui, les Américains seraient indignés si les soldats de l’ONU entraient dans Los Angeles pour y restaurer l’ordre; Demain, ils leur en seront reconnaissants ! Ceci est spécialement vrai si on leur disait qu’il existe une menace extérieure, réelle ou fictive, mettant en péril notre existence même. C’est alors que tous les peuples du monde prieront les dirigeants mondiaux de les délivrer de ce mal. La seule chose que tous les hommes craignent est l’inconnu. Lorsqu’on leur présentera ce scénario, les droits de la personne seront volontairement abandonnés contre la garantie de leur bien-être par leur gouvernement mondial. Il me semble évident que les gens ne sont pas prêts à entendre tout ce que savent certains de nos dirigeants. Peut-être que nos visiteurs extraterrestres peuvent décider qui est prêt pour la vérité et qui ne l’est pas. Peut-être est-ce une question de choix individuel.»
Henry Kissinger, s’exprimant à Evian le 21 mai 1992 à la réunion du Bilderberg (son discours a été tapé à son insu par un délégué suisse qui participait à la réunion).

Kissinger, Henry : Si vous contrôlez le pétrole, vous contrôlez le pays, mais si vous contrôlez les semences, vous contrôlez l’alimentation. Et celui qui contrôle l’alimentation tient la population en son pouvoir. – ET : « Qui contrôle la nourriture contrôle les populations, qui contrôle l’énergie contrôle les nations et celui qui contrôle la monnaie contrôle le monde ».

Krishnamurti, Jiddu : la mort de la pensée c’est la vie éternelle.
Krishnamurti, Jiddu : « Ce n’est pas un signe de bonne santé mentale d’être bien adapté à une société malade. »
Kropotkine, Pierre : la seule Eglise qui illumine, c’est celle qui brûle (!!!).
Krysmanski, Hans-Jürgen : « La mise en pratique de décisions politiques et stratégiques cruciales, n’est pas, comme le propage la mythologie publique, le résultat d’un processus parlementaire démocratique qui partirait en fait de l’électeur, du peuple souverain. En réalité, c’est un autre souverain qui décide. Ce sont les groupes qui possèdent le plus grand pouvoir financier ».

Lacan, Jacques : Vous êtes là où vous ne pensez pas.
Lalor, James Fintan (1807-1849) « Quiconque vous dira qu’un acte de résistance, fut-il le fait de 10 hommes, ces 10 hommes fussent-ils armés de pierre, quiconque vous dira qu’un tel acte était prématuré, ou dangereux, celui-là mérite le mépris et les crachats. Car je vous le dis : un jour, quelque part, il faut bien que quelqu’un commence, et le premier acte de résistance sera toujours prématuré, et dangereux. »
La Rochejaquelein (1772-1794) : Si j’avance, suivez-moi; si je meurs, vengez-moi; si je recule, tuez-moi. »

[Lanctôt, Guylaine] : Elle est connue pour avoir abandonné son compte bancaire, sa carte de crédit, sa carte d’assurance maladie et ne plus avoir fait sa déclaration d’impôt afin de se dissocier du « système financier ». Elle a fait de la prison pour cette raison en 2008, ayant refusé de signer la libération conditionnelle qui était faite à son nom d’état-civil ; selon elle, c’est « la personnalité juridique créée par le gouvernement qui en détient la propriété »5 et qu’elle a décidé de renier. Elle propose la souveraineté individuelle. »

Le Monde, Journal : « Spin Doctor », def.: « Ceux dont la profession est d’influencer l’opinion publique sur la personnalité et les faits et gestes d’un homme politique par des techniques de communication ». 05/10/2013. Le Monde ne fait travailler que des spin-doctors !
Leonov, Alexeï : Mon destin, c’est Moi.

Lewis, C.S. (attribué à) :
Wormwood – Et comment as-tu fait pour amener autant d’âmes en enfer à l’époque ?
Screwtape – Grâce à la peur.
W– Oh, oui. Excellente stratégie: vieille et toujours actuelle. Mais de quoi avaient-ils peur? Peur d’être torturés? Peur de la guerre? Peur de la faim?
S– Non. Peur de tomber malade.
W– Mais personne d’autre ne tombait malade à l’époque?
S– Si, ils tombaient malades.
W– Personne d’autre ne mourait?
S– Si, ils mouraient.
W– Mais il n’y avait pas de remède à la maladie ?
S– Il y en avait.
W– Alors je ne comprends pas.
S– Comme personne d’autre ne croyait ou n’enseignait sur la vie éternelle et la mort, ils pensaient qu’ils n’avaient que cette vie, et ils s’y accrochaient de toutes leurs forces, même si cela leur coûtait
_ leurs affections (ils ne s’embrassaient plus, ne se saluaient plus, ils n’ont eu aucun contact humain pendant des jours et des jours!); _ leur argent (ils ont perdu leur emploi, dépensé toutes leurs économies, et pensaient encore avoir de la chance parce qu’ils n’avaient pas à gagner leur pain!)
_ leur intelligence (un jour, la presse disait une chose et le lendemain elle se contredisait, pourtant ils croyaient à tout!),
_ leur liberté (ils ne sortaient pas de chez eux, ne marchaient pas, ne rendaient pas visite à leurs proches… C’était un grand camp de concentration pour prisonniers volontaires! Ahahahahah !).
_ Ils ont tout accepté, tout, tant qu’ils pouvaient prolonger leur misérable vie un jour de plus.
_ Ils n’avaient plus la moindre idée que c’est Lui, et Lui seul, qui donne la vie et la termine. Ça s’est passé comme ça ! Ça n’avait jamais été aussi facile.

>> ce texte est en fait de la main de Marco TOSSATTI : https://www.marcotosatti.com/2020/05/03/gotti-tedeschi-lewis-e-una-parabola-sul-coronavirus/

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Lincoln, Abraham : Dieu n’a sûrement pas créé un être tel que l’homme pour n’exister qu’une journée ! Non, non, l’homme a été fait pour l’immortalité.

LINCOLN, Abraham : « On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps. »

Locution latine : Pas de jour sans [écrire] une seule ligne. Nulla dies sine linea.

Machiavel, Nicolas : Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes.
Mahârshi, Râmana : Le monde est une ombre qui danse sur un fleuve de lumière.
Mahârshi, Râmana :
Au milieu de la caverne du coeur,
en forme de Moi, en forme de Soi,
unique et solitaire,
tout droit de soi à soi,
le Brahman resplendit !
Pénètre toi-même en ce dedans,
ta pensée perçant jusqu’à sa source,
ton esprit plongé en soi,
souffle et sens au tréfonds recueillis,
tout de toi en toi fixé,
et là, simplement, sois !

Mandela, Nelson : “Je ne perds jamais. Soit je gagne, soit j’apprends”
Mandela, Nelson : Un gagnant est un rêveur qui n’abandonne jamais.
MARC-AURÈLE : Le bonheur de votre vie dépend de la qualité de vos pensées.
Marc, 4:22 : Tout ce qui est caché doit être mis en lumière, tout ce qui est caché doit être mis au grand jour.
Marc, 6:36 : Et que sert-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perd son âme ?

« Marcel Benhur » : La France c’est le canada dry de la démocratie.
Mariel, Pierre : En réalité, de tous temps – et maintenant plus que jamais – les sociétés secrètes mènent le monde.

MATRIX, film de 1999, de Lawrence et Andrew Wachowski :
Morpheus – J’imagine qu’à cet instant tu te sens un peux comme Alice, descendant dans le terrier du lapin blanc…
Neo – Tu peux dire ça…
M – Je peux le voir dans tes yeux. Tu as le look d’un homme qui accepte tout ce qu’il voit, parce qu’il s’attend à se réveiller. Ironiquement, ce n’est pas loin de la vérité. Crois tu dans la destinée Neo ?
N – Non.
M- Pourquoi pas?
N – Parce que je n’aime pas l’idée que je ne suis pas en contrôle de ma vie
M – Je sais exactement ce que tu veux dire, laisses moi te dire pourquoi tu es là. Tu es là parce que tu sais quelque chose. Ce que tu sais, tu ne peux pas l’expliquer, mais tu le sens. Tu l’as senti toute ta vie. Que quelque chose n’allait pas avec ce monde. Tu ne sais pas ce que c’est, mais c’est là, comme un éclat dans ton esprit, te rendant fou. C’est ce sentiment qui t’as mener à moi. Sais tu de quoi je parle ?
N – La Matrice ?
M – Veux tu savoir ce qu’elle est ? La Matrice est partout, tout autour de nous. Même à cet instant dans cette pièce. Tu peux la voir quand tu regardes par la fenêtre, ou quand tu allumes ta télévision. Tu peux la sentir quand tu vas au travail, quand tu vas à l’église, quand tu pais tes taxes. C’est le monde qui a était superposé devant tes yeux pour t’aveugler de la vérité.
N – Quelle vérité ?
M – Que tu es un esclave Néo, comme tout le monde, tu es né esclave. Né dans une prison que tu ne peux ressentir ou goûter ou toucher. Une prison pour ton esprit. Malheureusement personne ne peut te dire comment est la Matrice. Tu dois le voir par toi même. C’est ta dernière chance. Après ça, il n’y aura pas de retour en arrière possible. Tu prends la pilule bleu, l’histoire s’arrête, tu te réveilles dans ton lit et crois ce que tu as envie de croire. Tu prend la pilule rouge, et tu restes dans le monde des rêves, et nous descendons au fond du terrier du lapin blanc. Rappelle-toi, tout ce que j’ai à t’offrir n’est que la vérité, rien de plus.

Mead, Margaret : Ne doutez jamais qu’un petit groupe de gens réfléchis et engagés puisse changer le monde. En fait, c’est toujours comme cela que ça s’est passé.
Meraki : terme grec signifiant : faire quelque chose avec son âme, avec créativité, ou avec amour.

Pr MEYER Hajo (à 86 ans) : « Avant, un antisémite était quelqu’un qui détestait les juifs, mais de nos jours un antisémite est quelqu’un qui est détesté par les juifs. »

Michel-Ange : J’ai vu un ange dans le marbre et j’ai seulement ciselé jusqu’à l’en libérer.
Mill, John Stuart : Ne laissez personne apaiser sa conscience en lui faisant croire qu’il ne peut faire de mal s’il ne participe pas, et ne donne pas son avis. Les hommes méchants n’ont besoin de rien de plus pour parvenir à leur fin, que d’hommes bons qui contemplent sans intervenir.
Mitchell, Joni : Ne vous semble-t-il pas que c’est toujours comme ça : vous ne savez pas ce que vous possédez jusqu’au jour où vous ne l’avez plus.
Monde diplomatique, Le : « Dorénavant, chacun, ou presque, a compris que la corruption concerne plus fondamentalement un Etat néolibéral qui finance par la destruction des services publics, le développement d’intérêts privés. »

Monod, Jules : L’Islam sera le communisme du XXIème siècle. L’Islam c’est le communisme, plus Dieu.

Montagnier, Luc (Professeur) : « Le laboratoire de la ville de Wuhan s’est spécialisé sur ce type de coronavirus depuis très longtemps […]. Ils ont une expertise dans ce domaine, ce qui m’a poussé à regarder de près la description du génome – c’est-à-dire de la séquence – de l’acide nucléique […] de ce virus. Ça, c’est le début d’une analyse qui a été faite non seulement par moi mais aussi et surtout par mon collègue mathématicien, qui s’appelle Jean-Claude Perez. Il a effectivement fouillé dans les moindres détails de la séquence. On n’a pas été les premiers puisqu’un groupe de chercheurs indiens a publié – enfin, a essayé de publier – une analyse qui montrait que le génome complet de ce coronavirus avait des séquences d’un autre virus, et ô surprise pour moi, le VIH, le virus [responsable] du sida. Ceci a été publié d’abord par le groupe indien, on l’a obligé [à] se rétracter parce qu’il y a une énorme pression pour tout ça, pour que la vérité fasse jour. »  (Prix Nobel de médecine 2008, découvreur du VIH du SIDA)

Montaigne, Michel : Tu ne meurs pas de ce que tu es malade, mais de ce que tu es vivant.
Montaigne, Michel : Je n’ai peur que de la peur. Ce dont j’ai le plus peur, c’est la peur.

Morin, Daniel : Le premier et le plus grand malentendu, c’est l’idée que l’individu peut se libérer, peut devenir libre… seule la conscience peut se libérer de l’individu et non l’individu se libérer de lui-même.

Müller, J.: Nous ne sommes pas seulement responsables de ce que nous faisons, mais également de ce que nous laissons faire.
Napoléon 1er :  » Le mépris des lois et l’ébranlement de l’ordre social ne sont que la conséquence de la faiblesse et l’indécision des gouvernants ».
Nietzsche : Il faut vivre dangereusement.
Nietzsche : « Parfois les gens ne veulent pas entendre la vérité parce qu’ils ne veulent pas que leurs illusions soient détruites ».
Nisargadatta Maharaj : «Le seul problème, c’est que vous êtes accro à l’expérience et que vous chérissez vos souvenirs. La réalité est toute autre: ce dont on se souvient n’est jamais réel; le réel, c’est maintenant.»
Nisargadatta Maharaj : L’IMPRÉVU EST CERTAIN D’ARRIVER, ALORS QUE CE QUI EST ATTENDU POURRAIT NE JAMAIS SURVENIR.

Network, film de Sidney Lumet, 1976 # 1 :
Jensen : Vous vous êtes mêlé aux forces primitives de la nature, M. Beale, et je ne le permettrai pas ! Est-ce que c’est clair ? ! Vous pensez que vous avez simplement arrêté une affaire. Ce n’est pas le cas. Les Arabes ont retiré des milliards de dollars de ce pays, et maintenant ils doivent les remettre à leur place ! C’est le flux et le reflux, la gravité de la marée ! C’est l’équilibre écologique !Vous êtes un vieil homme qui pense en termes de nations et de peuples. Il n’y a pas de nations. Il n’y a pas de peuples. Il n’y a pas de Russes. Il n’y a pas d’Arabes. Il n’y a pas de tiers monde. Il n’y a pas d’Occident. Il n’y a qu’un seul système holistique de systèmes, un vaste et immanent, entrelacé, en interaction, multivarié, multinational, de domination des dollars. Pétrodollars, électrodollars, multidollars, reichmarks, yens, roubles, livres et shekels.C’est le système monétaire international qui détermine la totalité de la vie sur cette planète. C’est l’ordre naturel des choses aujourd’hui. C’est la structure atomique, subatomique et galactique des choses aujourd’hui ! Et VOUS vous êtes mêlés aux forces primaires de la nature, et VOUS allez le payer !Est-ce que je me fais comprendre, Mr. Beale ?Vous vous levez sur votre petit écran de 21 pouces et vous hurlez à propos de l’Amérique et de la démocratie. Il n’y a pas d’Amérique. Il n’y a pas de démocratie. Il n’y a qu’IBM et ITT et AT&T et DuPont, Dow, Union Carbide, et Exxon. Ce sont les nations du monde d’aujourd’hui.De quoi pensez-vous que les Russes parlent dans leurs conseils d’État – Karl Marx ? Ils sortent leurs graphiques de programmation linéaire, leurs théories de décision statistiques, de solutions minimax, et calculent les probabilités prix-coûts de leurs transactions et investissements, tout comme nous le faisons.Nous ne vivons plus dans un monde de nations et d’idéologies, M. Beale. Le monde est un collège d’entreprises, inexorablement déterminé par les règlements immuables des affaires. Le monde est une entreprise, M. Beale. Il l’est depuis que l’homme est sorti de la boue. Et nos enfants vivront, M. Beale, pour voir ce monde parfait dans lequel il n’y a ni guerre ni famine, ni oppression ni brutalité — un vaste holding oecuménique, pour lequel tous les hommes travailleront au service d’un profit commun, dans lequel tous les hommes détiendront une part des actions, tous les besoins seront satisfaits, toutes les angoisses seront apaisées, tout ennui amusé.Et je vous ai choisi, M. Beale, pour prêcher cet évangile.
Beale : Mais pourquoi moi ?
Jensen : Parce que vous êtes à la télévision, idiot. Soixante millions de personnes vous regardent tous les soirs de la semaine, du lundi au vendredi.
Beale : J’ai vu le visage de Dieu.
Jensen : Vous avez peut-être raison, M. Beale.

Network, film de Sidney Lumet, 1976 # 2 :
Beale : Je n’ai pas besoin de vous dire que tout va mal, tout le monde le sait. C’est la dépression. Tout le monde est au chômage ou a peur de perdre son emploi. Le cours du dollar a baissé. Les banques ferment et les commerçants ont un flingue sous le comptoir. Les voyous courent dans les rues. Nous sommes impuissants, et tout ça n’a pas de fin. Nous savons que l’air est irrespirable et que notre nourriture est immangeable ! Nous restons assis devant notre télé, pendant qu’un présentateur nous dit qu’il y a eu 15 homicides et 63 crimes violents dans la journée, comme si c’était le cours normal des choses ! Tout va mal, on le sait ! Pire encore, le monde est tombé sur la tête ! Le monde est fou, donc nous ne sortons plus ! On reste dans nos maisons, doucement notre monde rétrécit et tout ce qu’on dit, c’est : « Laissez-nous tranquilles dans nos salons. Laissez-moi avoir un grille-pain, une télé et des pneus solides et je la fermerai ! Laissez-nous tranquilles !!!
Je ne vais pas vous laisser tranquilles. Je  veux que vous vous mettiez en colère ! Je ne veux pas de manifestations, ni d’émeutes. N’écrivez pas à votre député, je ne saurais quoi vous dire d’écrire. J’ignore comment régler la dépression, l’inflation, les Russes, ou l’insécurité. Vous devez d’abord vous mettre en colère !
Dites-vous : « Je suis un être humain, bon sang, ma vie vaut quelque chose ! Je veux que vous vous leviez maintenant. Levez-vous de vos chaises. Allez à la fenêtre maintenant, ouvrez-la, penchez-vous et criez : « Je suis fou de rage et je ne vais plus me laisser faire ! » Levez-vous maintenant, allez à la fenêtre, ouvrez-la, penchez-vous et criez : « Je suis fou de rage et je ne vais plus me laisser faire ! » Le monde doit changer. « On ne va plus se laisser faire ! » On trouvera alors un solution à la dépression, à l’inflation, et à la crise du pétrole, mais d’abord levez-vous, ouvrez la fenêtre, penchez-vous et hurlez !  « Je suis fou de rage et je ne vais plus me laisser faire ! »
(La foule des immeubles, à la fenêtre, criant tous : « Je suis fou de rage et je ne vais plus me laisser faire ! »)

Noé, Jean-Luc : « Le jour où vous êtes satisfait de ce que vous avez, vous n’avancez plus. Dans la vie, soit vous avancez, soit vous reculez, la stagnation n’existe pas. Il faut viser l’amélioration perpétuelle parce que c’est le plus important : améliorer les choses. C’est pourquoi nous sommes sur terre. Cela fait partie de l’évolution. Le fait de stagner ou de se contenter de ce que l’on a est anti évolutif.  » – Extrait du livre « Gladiateur Subversif’.

NYOSHUL KHEN RINPOCHE
Il n’y a pas d’enseignement plus haut que le vide.
Il n’y a pas d’enseignement plus rapide que le vide.
Il n’y a pas d’enseignement plus excellent que le vide.
Il n’y a pas d’enseignement plus profond que le vide.
Si on n’a qu’un seul moment de certitude
Dans ce genre de vide,
Les chaînes serrées de l’égo-accrochage
Va se briser en morceaux.
Ceci a été dit par Aryadeva.
Si le mérite de se reposer uniformément
Juste pour un instant dans cet état naturel
Prendrait une forme concrète,
L ‘ espace ne pouvait pas le contenir.
Le Seigneur sans pair du Munis, Shakyamuni,
Pour le bien de ce profond vide,
Jeté son corps dans les bûchers de feu,
Il a donné sa tête et ses membres,
Et a exécuté des centaines d’autres austérités.
Bien que vous remplissiez le monde de gros monticules
De cadeaux d’or et de bijoux,
Cet enseignement profond sur le vide,
Même lorsqu’on recherche, c’est difficile à trouver.
Ceci est dit dans les cent mille versets de Prajnaparamita.
Pour rencontrer cet enseignement suprême
Le pouvoir du mérite est-il splendide
De nombreuses éditions au-delà du compte.
Bref, par le vide,
L ‘ un est, au profit de soi-même,
Libéré dans l’étendue du Dharmakaya à naître,
L ‘ illumination complète manifeste
Des quatre Kayas et des cinq Sagesses.
L ‘ affichage sans obstruction de la Rupakaya
Se lèvera alors sans cesse pour enseigner à quiconque est dans le besoin,
En remuant les profondeurs de Samsara au profit des autres
À travers une activité spontanée constante et tout envahissante.
Dans tous les Sutras et Tantras, c’est dit
Pour être le fruit ultime.

Obama, Barack en 2015 : « Quant à l’ordre international que nous avons élaboré pour les générations à venir : les hommes et les femmes ordinaires ont un esprit trop étroit pour gérer leurs propres affaires. Cet ordre et ce progrès ne peuvent venir que par la soumission complète des individus et de leurs droits à un souverain tout puissant. »

Onfray, Michel : Quand on voit tous les ennemis de cet homme on a franchement envie d’être son ami…

Onfray, Michel : Quand un mot est toujours mis en avant c’est qu’il cache sont contraire.

Onfray, Michel : « A part faire de l’argent pour enrichir les riches et appauvrir les pauvres, l’Europe ne sait faire rien d’autre. »
Onfray, Michel : Il est admis que 1984 et La Ferme des animaux d’Orwell permettent de penser les dictatures du XXe siècle. Je pose l’hypothèse qu’ils permettent également de concevoir les dictatures de toujours.
Comment instaurer aujourd’hui une dictature d’un type nouveau ?
J’ai pour ce faire dégagé sept pistes : détruire la liberté ; appauvrir la langue ; abolir la vérité ; supprimer l’histoire ; nier la nature ; propager la haine ; aspirer à l’Empire. Chacun de ces temps est composé de moments particuliers.
_ Pour détruire la liberté, il faut : assurer une surveillance perpétuelle ; ruiner la vie personnelle ; supprimer la solitude ; se réjouir des fêtes obligatoires ; uniformiser l’opinion ; dénoncer le crime par la pensée.
_ Pour appauvrir la langue, il faut : pratiquer une langue nouvelle ; utiliser le double langage ; détruire des mots ; oraliser la langue ; parler une langue unique ; supprimer les classiques.
_ Pour abolir la vérité, il faut : enseigner l’idéologie ; instrumentaliser la presse ; propager de fausses nouvelles ; produire le réel.
_ Pour supprimer l’histoire, il faut : effacer le passé ; réécrire l’histoire ; inventer la mémoire ; détruire les livres ; industrialiser la littérature.
_ Pour nier la nature, il faut : détruire la pulsion de vie ; organiser la frustration sexuelle ; hygiéniser la vie ; procréer médicalement.
_ Pour propager la haine, il faut : se créer un ennemi ; fomenter des guerres ; psychiatriser la pensée critique ; achever le dernier homme.
_ Pour aspirer à l’Empire, il faut : formater les enfants ; administrer l’opposition ; gouverner avec les élites ; asservir grâce au progrès ; dissimuler le pouvoir.
_ Qui dira que nous n’y sommes pas ? (>>> Théorie de la dictature)

Orwell, George : En ces temps d’imposture universelle, dire la Vérité est un acte révolutionnaire.

ORWELL, George (1984) : « En dehors du travail, tout sera interdit, marcher dans les rues, se distraire, chanter, danser… »

Pagnol, Marcel : Telle est la vie des hommes. Quelques joies très vite effacées par d’inoubliables chagrins. Il n’est pas nécessaire de de le dire aux enfants.

Papin, Jean : Le yoga s’interdit l’analyse, qu’il considère comme un obstacle, et vise la supraconscience. Il n’a ni les mêmes méthodes ni les mêmes buts.
Car il ne s’agit pas de trouver une issue au mal de vivre provoqué par la vie moderne. Il s’agit de renoncer à ce genre de vie.
Il ne s’agit pas de rechercher la communication dans la détente. Il s’agit de réaliser que l’on est seul et qu’il faut trouver de l’intérieur.
Il ne s’agit pas d’affirmer sa personnalité, mais de perdre l’ego. De s’oublier soi-même.
Il ne s’agit pas de discuter, de s’analyser et d’étaler ses états d’âme, de libérer ses rêves et ses fantasmes. Il s’agit d’en maîtriser le flux et d’ambitionner, sinon leur destruction, au moins leur totale domination.
Il ne s’agit pas de chercher un abri et des consolations ou d’avoir la prétention d’améliorer la condition humaine.
Il s’agit d’un effort de lucidité, d’une quête de l’impeccabilité, d’une volonté de transgresser le mode humain en échappant à l’orgueil, d’une marche vers l’émancipation par rapport au monde. La libération définitive, qui est l’exact contraire d’une fuite.
Cette réalité se cache au-dedans de soi et nulle part ailleurs; car l’universel, inaccessible dans son infinitude, se retrouve à l’état de graine au plus profond de chaque vivant. C’est là qu’il faut aller le saisir. Et le yoga ne se borne pas à le dire, il fournit aussi les moyens d’entreprendre et de mener à bien ce voyage.

Parren, Eric : Ce monde aux normes est un monde mort, dans lequel la liberté, au lieu d’être le droit de faire ce qui ne nuit pas à autrui, n’est plus que l’étroit couloir concédé par les autorités entre le mur des obligations et celui des interdictions.
Parren, Eric : Plus la république est corrompue, plus les lois sont nombreuses.
Pasqua, Charles :  Vous savez, en la matière, il est urgent de ne rien faire.
Paul (saint) : « L’Esprit de Dieu habite en vous. » (Romains VIII.9)
Paul (saint) : « Je vis, mais ce n’est plus moi, c’est le Christ qui vit en moi. » (Ga II.20)

Pelevin, Viktor :
« … il y a des milliers d’années, bien avant que Bouddha Dīpankara et Bouddha Shakyamuni ne viennent au monde, vivait Bouddha Anagma. Il ne perdait pas de temps en explications et se contentait de pointer les choses du doigt avec l’auriculaire de sa main gauche. Immédiatement, leur vraie nature était révélée. Il aurait pointé une montagne, et elle aurait disparu. Il aurait pointé une rivière, et elle aussi aurait disparu. C’est une longue histoire, mais la fin est la suivante : il a pointé son auriculaire gauche vers lui-même et il a disparu. Tout ce qui est resté de lui, ce fût son auriculaire gauche, que ses élèves ont caché dans un coffre en argile. L’arme fatale est cette boite en argile avec l’auriculaire du Bouddha à l’intérieur. Il y a très longtemps, en Inde, un homme a essayé de transformer cette boite d’argile en l’arme la plus terrible qui soit. Mais dès qu’il eut percé un trou dedans, l’auriculaire l’a pointé du doigt et il a disparu. Depuis lors, l’auriculaire a été conservé dans un coffre fermé à clé et déplacé d’un endroit à l’autre jusqu’à ce qu’il soit perdu dans une des lamaseries en Mongolie… » Cette citation est tirée du livre « Chapayev et Pustota » de Viktor Pelevin.

« _ Question : Est-ce que la conscience est la seule chose qui existe ?
_ Roger Penrose : J’espère que non. Sinon, où disparais-« je » toutes les nuits ? Dans le néant ? »

Pr Perronne Christian, chef de service des maladies infectieuses à l’hôpital de Garches (intervievw) :
« Concernant les tests PCR c’est totalement bidon. En Italie ou en Allemagne ils sont à 20 cycles et il n’y a pas d’explosion d’épidémie, en France on est à 40, 45 cycles c’est complètement débile sur le plan scientifique car ça crée des centaines de milliers, des millions de faux positifs. Le gouvernement vous crée une épidémie, une deuxième vague de gens qui sont en parfaite santé. […] On est en train de verrouiller la démocratie, nous sommes en État d’urgence permanente, donc le gouvernement peut prendre toutes les décisions sans demander l’avis des députés, prendre des décisions liberticides et moi je suis paniqué pour la démocratie, […] on est bâillonnés avec cette prétendue épidémie. […] C’est politique, ce n’est plus de la médecine. Le masque pour moi c’est un bâillon, on n’a plus le droit de parler aujourd’hui ! On est dans une attaque frontale contre le peuple, le peuple français doit se révolter ! »

Pic de la Mirandole, Jean : Oratio de hominis dignitate :
Je ne t’ai donné ni visage, ni place qui te soit propre, ni aucun don qui te soit particulier, ô Adam, afin que ton visage, ta place, et tes dons, tu les veuilles, les conquières et les possèdes par toi-même. Nature enferme d’autres espèces en des lois par moi établies. Mais toi, que ne limite aucune borne, par ton propre arbitre, entre les mains duquel je t’ai placé, tu te définis toi-même. Je t’ai placé au milieu du monde, afin que tu pusses mieux contempler ce que contient le monde. Je ne t’ai fait ni céleste ni terrestre, mortel ou immortel, afin que de toi-même, librement, à la façon d’un bon peintre ou d’un sculpteur habile, tu achèves ta propre forme. »- Traduction de M. Yourcenar dans L’Œuvre au Noir

Pike, Albert : « Quand Louis XVI fut exécuté  la moitié du travail était faite et donc, à partir de ce moment, l’ Armée du Temple devait diriger tous ses efforts contre la Papauté. » Alber PIKE 1891, 33° degré rite écossais ancien et accepté pour la juridiction méridionale de Etats Unis
Poe, Edgar Allan : « Ceux qui rêvent le jour auront toujours un avantage sur ceux qui rêvent la nuit. »

Pokomandy, Gabriel (de) : Transcription du texte du juge Gabriel de Pokomandy de la Cour du Directeur de la Protection de la Jeunesse (DPJ – Cour du Québec) :
« Les enfants n’appartiennent aucunement aux parents, ni à l’un, ni à l’autre, les enfants ne sont que prêtés aux parents, pour leur donner une formation, une éducation, les élever, les rendre membres d’une société dont les parents font partis et c’est ce qui justifie le législateur, de faire en sorte que l’on peut enlever aux parents les enfants qui leur sont prêtés, si les parents ne sont pas capables de s’acquitter de ce devoir que la loi leur impose, que l’on s’attend d’eux d’élever harmonieusement leurs enfants. »
Polony, Natacha : Sans un peuple éduqué, la démocratie c’est la tyrannie des imbéciles (Thinkerview, 19/02/16)
Pound, Ezra : « Si un homme n’est pas prêt à affronter un risque quelconque pour ses opinions, ou bien ses opinions ne valent rien, ou bien c’est lui qui ne vaut rien ».

Prière des Francs : « Ô Dieu tout-puissant et éternel, qui avez établi l’empire des Francs, pour être par le monde, l’instrument de votre très divine volonté et le glaive et le rempart de votre sainte Eglise, nous vous en prions, prévenez toujours et en tous lieux, par votre céleste lumière, les fils suppliants des Francs, afin qu’ils voient clairement ce qu’il faut faire pour établir votre règne en ce monde, et que, pour réaliser ce qu’ils auront vu, ils deviennent toujours plus puissants, par la charité et la bravoure.
Par le Christ notre Seigneur. Ainsi soit-il. »

PROUDHON, Pierre-Joseph : Être gouverné, c’est être gardé à vue, inspecté, espionné, dirigé, légiféré, réglementé, parqué, endoctriné, prêché, contrôlé, estimé, apprécié, censuré, commandé, par des êtres qui n’ont ni le titre, ni la science, ni la vertu…
Être gouverné, c’est être, à chaque opération, à chaque transaction, à chaque mouvement, noté, enregistré, recensé, tarifé, timbré, toisé, coté, cotisé, patenté, licencié, autorisé, apostillé, admonesté, empêché, réformé, redressé, corrigé.
C’est, sous prétexte d’utilité publique, et au nom de l’intérêt général, être mis à contribution, exercé, rançonné, exploité, monopolisé, concussionné, pressuré, mystifié, volé ; puis, à la moindre résistance, au premier mot de plainte, réprimé, amendé, vilipendé, vexé, traqué, houspillé, assommé, désarmé, garrotté, emprisonné, fusillé, mitraillé, jugé, condamné, déporté, sacrifié, vendu, trahi, et pour comble, joué, berné, outragé, déshonoré. Voilà le gouvernement, voilà sa justice, voilà sa morale !

Proudhon, Pierre-Joseph : Jésus : une individualité à retrouver, à resituer, à refaire presque, tant il a été dissous, pulvérisé par la religion dont il est l’auteur. Rétablir cette grande figure dans sa vérité humaine est aujourd’hui un travail de première nécessité. Ramené à la vérité de sa nature, à sa pure individualité, il devient un homme prodigieux.

Queuille, Henri : « Les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent ».
Quigley, Caroll : Les puissances du capitalisme financier avaient un plan de grande envergure, rien de moins que de créer un système mondial de contrôle financier dans les mains du secteur privé capable de dominer le système politique de chaque pays et l’économie mondiale d’un seul tenant.
Quint, Charles l’empereur : « Il n’y a pas de nation au monde qui fasse plus pour sa ruine que la Française ».

Rabhi, Pierre : « Nous ne vivons pas, nous sommes conditionnés, endoctrinés, manipulés, pour n’être que des serviteurs d’un système. »
Rabhi, Pierre : La nourriture aujourd’hui est tellement toxique que, quand on se met à table, plutôt que de se souhaiter « bon appétit », on devrait se souhaiter « bonne chance » !
Rabhi, Pierre : La nature offre à la fois ce qui nourrit le corps et le guérit, émerveille l’âme, le coeur et l’esprit.
Rabhi, Pierre : Que ce soit dans l’islam – religion de mon enfance -, le christianisme ou le judaïsme, j’ai toujours entendu proclamer avec conviction que la Création est œuvre divine. Devenu un écologiste conscient du comportement des humains à l’égard de la nature, j’ai été étonné par la passivité des religions face aux immenses profanations qui sont infligées à la Création.
Rabhi, Pierre : La terre ne nous a jamais trahis, c’est nous qui l’avons trahie !
Rabhi, Pierre : La modération c’est ajuster l’indispensable et le nécessaire et réduire le superflu. Tant que nous ne réduirons pas le superflu, nous continuerons à être victimes de notre boulimie, car l’être humain est manipulé pour être insatiable. Un être humain qu’on installe dans l’idée qu’il n’a jamais assez, les gagneurs d’argent ne demandent que ça.
Rabhi, Pierre : Le bien-être suprême, c’est de dormir dans le silence, d’admirer les étoiles, de contempler un beau paysage. C’est le luxe !

Reagan, Ronald : «Lorsque nous parlons de paix, nous ne devons pas nous limiter à l’absence de guerre. La vraie paix repose sur les piliers de la liberté individuelle, des droits de l’homme, de l’autodétermination nationale et du respect de l’état de droit. »
Ricard, Matthieu : Il est trop tard pour être pessimiste.
Ricard, Matthieu : « Faire tout ce qui est en notre pouvoir pour soulager ces tourments » : Des êtres meurent alors qu’ils viennent à peine de naître, d’autres alors qu’ils viennent à peine d’enfanter. A chaque seconde, des êtres sont assassinés, torturés, battus, mutilés, séparés de leurs proches. D’autres sont abandonnés, trompés, expulsés, rejetés. Les uns tuent les autres par haine, cupidité, ignorance, arrivisme, orgueil ou jalousie. Des mères perdent leurs enfants, des enfants perdent leurs parents. Les malades se succèdent sans fin dans les hôpitaux.
Certains souffrent sans espoir d’être soignés, d’autres sont soignés sans espoir d’être guéris. Les mourants endurent leur agonie, et les survivants leur deuil. Certains meurent de faim, de froid, d’épuisement, d’autres sont calcinés par le feu, écrasés par des rochers ou emportés par les eaux. Ce n’est pas seulement vrai des êtres humains. Les animaux s’entre-dévorent dans les forêts, les savanes, les océans ou le ciel. A chaque instant, des dizaines de milliers d’entre eux sont tués par les hommes, déchiquetés pour être mis en boîte. D’autres endurent d’interminables tourments sous la domination de leur propriétaire, portant de lourdes charges, enchaînés leur vie entière, chassés, pêchés, piégés dans des dents de fer, étranglés dans des rets, étouffés dans des nasses, suppliciés pour leur chair, leur musc, leur ivoire, leurs os, leur fourrure, leur peau, jetés vivants dans l’eau bouillante ou écorchés vifs.
Il ne s’agit pas de simples mots, mais d’une réalité qui fait partie intégrante de notre quotidien: la mort, la nature éphémère de toute chose et la souffrance. Bien que l’on puisse se sentir submergés, impuissants devant tant de douleur, vouloir s’en détourner ne serait qu’indifférence ou lâcheté. Il nous incombe d’être intimement concernés, en pensées et en actes, et de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour soulager ces tourments. » Plaidoyer pour le bonheur – Chapitre 5 – L’alchimie de la souffrance

RICHELIEU : Faire une loi, et ne pas la faire exécuter, c’est autoriser la chose que l’on voudrait interdire !

Rimbaud, Arthur : « On ne naît pas libre, on le devient ».
Robin, Marthe : Jusqu’à la fin du monde, je serai l’apôtre de l’amour. Aussi longtemps qu’il restera sur la terre des hommes qui souffriront, qui lutteront, qui chemineront dans l’erreur, j’intercéderai en leur faveur, je viendrai les aimer.

Rockfeller, David : Certains croient que nous (la famille Rockefeller) faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, caractérisant ma famille et moi comme des « internationalistes » et conspirant avec d’autres partout dans le monde pour construire une structure politique et économique globale plus intégrée – un seul monde, si vous préférez. Si c’est l’accusation, je suis coupable et fier de l’être.

Rockefeller, David : « Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, Time Magazine et d’autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque 40 ans. Il nous aurait été impossible de développer nos plans pour le monde si nous avions été assujettis à l’exposition publique durant toutes ces années. Mais le monde est maintenant plus sophistiqué et préparé à entrer dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. »

Rockefeller, David : « Nous sommes à la veille d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est la bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial. »

Roosevelt, Franklin Delanoo : « En politique, rien n’arrive pas accident. Si quelque chose se produit, vous pouvez parier que cela a été planifié de cette façon. »
Rothschild : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie et je me passerai de ceux qui font les lois ». Mayer Anschel Bauer puis Rothschild (1744/1812) – Fondateur de la dynastie bancaire
Rousseau, Jean-Jacques : « Les hommes ne sont naturellement, ni rois, ni grands, ni courtisans, ni riches ; tous sont nés nus et pauvres, tous sont sujets aux misères de la vie, aux chagrins, aux maux, aux besoins, aux douleurs de toute espèce, enfin tous sont condamnés à la mort. » Émile, ou De l’éducation (1762)
*Royer-Collard, Pierre-Paul (à Sainte-Beuve) : « Vous ne vous occupez pas de politique, monsieur ; je vous plains, car un jour la politique s’occupera de vous. »

Rozenzweig, Michel : LE MASQUE ET LA VIE:

Vivre masqué en permanence dans les espaces clos et à l’extérieur alors que ce virus circule à bas bruit est un non sens total. Et quoi qu’en pensent les adhérents au masque obligatoire qui n’y voient toujours rien d’autre qu’une simple mesure d’hygiène envers les autres, ce qui reste encore à démontrer, c’est toute la vie quotidienne qui est affectée et durablement. Car tout est à présent soumis au règne du masque obligatoire, les moindres gestes, la moindre action, les moindres déplacements, les visites, les rendez-vous, c’est toute notre vie quotidienne qui est à présent régie et rythmée par ce régime du masque : sortir, faire ses courses, aller chez le coiffeur, au restaurant, dans un bar, un musée, au cinéma, faire du sport, de la danse, etc etc.
Et si ce régime est imposée aujourd’hui dans des conditions sanitaires saines, qu’en sera-t-il lorsque les autres coronavirus mutants et les influenza reviendront bientôt?
Au moindre rhume, aux moindres symptômes grippaux, que fera t-on?
Si ces contraintes limitantes drastiques sont imposées alors qu’elles ne se justifient pas aujourd’hui, à quelles mesures aurons-nous droit à la saison des grippes?
Dans ces conditions, il est clair que ce régime sera maintenu sans aucune limite de temps. C’est un peu comme si on avait érigé un immense barrage face à une hypothétique vague démesurée, un tsunami dont la survenue est loin d’être certaine. C’est un peu aussi comme le désert des Tartares avec sa forteresse érigée contre un ennemi qui ne venait jamais.
Nous avons basculé dans un univers de précaution absolue visant l’asepsie et le risque zéro pour préserver la vie et nous sommes en réalité entrain de perdre la vie. Car la vie n’est pas la survie.
Lorsque vous marchez dans une rue commerçante de votre quartier et qu’un inconnu masqué vous fonce dessus pour vous prévenir que la police vient de verbaliser deux personnes pour non port du masque alors que rien n’indique qu’il est obligatoire dans ce secteur, vous réalisez qu’il se passe quelque chose qui n’a strictement rien à voir avec la santé. Lorsque vous prenez les transports en commun et que des patrouilles de police sanitaire arpentent la plateforme en dévisageant les passagers, vous comprenez que ce monde est devenu invivable. Lorsque vous entrez dans votre bistrot familier et qu’on exige de vous de mettre votre masque pour faire 2m50, et qu’en vous installant, la serveuse masquée vous présente un carnet dans lequel vous êtes invité à indiquer votre nom et votre numéro de téléphone pour être autorisé à manger, vous comprenez que rien ne sera jamais plus comme avant et que la joie, le plaisir de sortir, la convivialité, les échanges et les partages dans ces conditions, c’est terminé.
Je suis désolé pour toutes les personnes qui approuvent ce régime de dictature sanitaire, sincèrement, car je pense qu’elles ont perdu leur sens commun, leur bon sens, leur faculté de juger et de discriminer. Et je le pense sincèrement. Ces personnes qui en insultent d’autres sont en réalité atteintes d’un autre virus bien plus toxique, celui de l’intoxication médiatique et du formatage des cerveaux alimenté et entretenu par la propagande médicale et politique anxiogène et contre lequel il n’y a aucun remède ni aucun vaccin.
Ce masque qu’ils exigent parfois avec violence au nom de leur santé en masque en réalité un autre, celui qui voile leur conscience et surtout leur liberté de conscience, de penser, d’apprécier et d’évaluer correctement la situation, celui qui voile la raison au profit du fantasme de la maladie mortelle qui rode à chaque coin de rue, celui de la peur panique d’être contaminé par la peste.
D’abord il y a eu un virus. Ensuite des malades, puis des morts. Comme chaque année à la même saison, cette année l’aire des morts aura juste été plus concentrée sur une plus courte période. Mais au total, comparé aux pics épidémiques annuels et saisonniers? Prenez la peine honnêtement de regarder un graphique de santé publique étalé sur les dernières années.
C’est la visibilité de cette épidémie qui a choqué les consciences et construit une image, une représentation erronée de la réalité, une discordance, ce sont les discours et les messages changeants, les injonctions contradictoires et paradoxales, les conflits d’intérêts de toute catégorie, l’instrumentalisation, la récupération et l’exploitation politiques de l’épidémie qui ont brouillé la lisibilité correcte et rationnelle de cet épisode.
Oui il y a eu une épidémie due à un coronavirus dont l’origine demeure mystérieuse pour moi et pour d’autres.
Oui les plus fragiles et les plus âgés en ont été victimes. Soit. Et alors? Est-ce une raison suffisante pour imposer ce régime de dictature sanitaire totalement disproportionné au moment où nous avons besoin de légèreté et d’air?
Est-ce une raison pour enfermer et astreindre toute une population au moment où rien ne le justifie lorsqu’on regarde les courbes des hospitalisations et des décès?
Et après?
Le contrôle électronique et numérique des contaminés?
Des codes de couleurs?
Un bracelet électronique pour les pestiférés?
Et puis pourquoi faire croire que ce régime prendra fin avec un vaccin alors que l’on sait parfaitement bien qu’aucun vaccin contre un coronavirus n’a jamais vraiment fonctionné? Si les vaccins contre la grippe saisonnière fonctionnaient massivement, on le saurait me semble t-il. A t-on éradiqué la grippe avec un seul vaccin?
Alors j’avoue, oui, j’avoue et je reconnais volontiers que je suis atteint d’un syndrome très connu: celui du canari dans la mine. Vous savez, cet oiseau que les mineurs emportaient pour les prévenir du gaz méthane qui s’échappait du charbon, un gaz incolore inodore et indétectable.
Lorsque que le canari s’endormait, ou mourait,
il était temps de sortir.

Ruffin, François :
 » On le sait, désormais : ils iront jusqu’au bout.
Ils raseront les forêts.
Ils videront les mers des thons, des baleines, des sardines.
Ils pressureront les roches. Ils feront fondre les pôles. Ils noirciront l’Alaska.
Ils réchaufferont l’atmosphère jusqu’à ébullition.
Ils nous vendront un air coté en Bourse.
Ils affameront des continents.
Ils sauveront les banques avec nos retraites.
Ils solderont les routes, les îles, les jardins publics au plus offrant.
Ils spéculeront sur nos maisons, notre santé, notre éducation.
Ils mettront, à force de stress, la moitié des travailleurs sous antidépresseurs – et l’autre moitié au chômage.
Ils lèveront des impôts sur nos égouts, nos chaussettes, notre haleine – plutôt que de toucher à leurs bénéfices. Le doute n’est plus permis : qu’on les laisse faire, et tout ça ils le feront.
Voilà leur programme pour ne rien changer, ou si peu.
Pour préserver leurs privilèges, leurs dividendes, leurs jets privés, leurs allers-retours en classes affaires.
Pour se bâtir des ghettos sociaux, sécuritaires, climatiques – où les plus riches de nos enfants, les plus serviles, les plus laquais, seront admis en leur compagnie. » in Fakir, février 2014.

Rumi : « Viens, je sais que tu es fatigué, mais c’est le chemin qu’il faut emprunter. »
Rumi : L’homme est un livre dans lequel toute chose est écrite ; mais ses opacités ne lui permettent pas de voir ce qu’il sait.

Santayana, George : Ceux qui ne se souviennent pas du passé sont condamnés à le revivre.

Sarkozy, Nicolas le 16.01.09 : « On ira ensemble vers ce nouvel ordre mondial. Et personne, je dis bien personne ne pourra s’y opposer. »

Sauvy, Alfred : Un Homme qui n’est pas informé est un sujet, un homme informé est un citoyen.
Schiller, Friedrich : Les grands arrêteront de dominer quand les petits arrêteront de ramper.
Schweitzer, Albert : L’exemplarité n’est pas une façon d’influencer, c’est la seule.
Sénèque : Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles.
Shaw, Georges Bernard : La vraie joie de la vie, c’est de participer à une mission que vous considérez comme essentielle. Vous devenez alors une force de la nature au lieu de rester un être égoïste, amer et grognon, qui se plaint que le monde ne désire pas son bonheur.
Shivananda, Swami : Servir – Aimer – Méditer – Réaliser.
Shimabukuro, Fumiko : Nous devons faire un choix : le silence ou la vie.

Schwab, Klaus (fondateur du WEF) : «La pandémie représente une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour réfléchir, réinventer et réinitialiser notre monde. »

Sitting Bull ou Geronimo : « Quand le dernier arbre aura été abattu – Quand la dernière rivière aura été empoisonnée – Quand le dernier poisson aura été péché – Alors on saura que l’argent ne se mange pas. »

Smith, Brandon : Les élites globalistes :
_ Il s’agit d’un petit groupe de créatures qui profitent le plus de la crise pandémique. Grâce à cette catastrophe, ils seront capables d’absorber de vastes quantités de biens matériels pour quelques centimes de dollar, dévorant les richesses et les biens de la classe moyenne et transformant toute l’économie en quelque chose d’inconnaissable. Les élites ne veulent pas de vos biens et de votre richesse simplement parce qu’elles sont avides ; elles veulent vos biens et votre richesse parce qu’elles ne veulent pas que VOUS en ayez. Elles veulent en finir avec le concept de propriété privée pour toujours, car sans propriété et sans la possibilité d’accumuler des richesses grâce à notre travail, les masses dépendront à jamais du gouvernement pour leur survie.
_ Au-delà de cela, le but ultime des élites est une société sans argent liquide, ainsi qu’un gouvernement mondial unique. Déjà, le Sénat américain étudie un projet de loi qui créerait un dollar numérique et un système de portefeuille numérique pour remplacer la monnaie papier. D’autres pays ont commencé à adopter la monnaie scripturale, et le coronavirus est utilisé comme excuse pour accélérer le processus. L’Organisation mondiale de la santé des Nations unies a spécifiquement appelé à la suppression de la monnaie scripturale. Une fois le public piégé dans un système numérique, il ne pourra plus jamais faire de transactions sans passer par les banques comme intermédiaires, et toutes les transactions seront tracées. Rien ne sera plus jamais privé et, en appuyant sur un bouton, le peu de richesse que vous êtes autorisé à accumuler peut être gelé dans la nouvelle culture de contrôle socialiste. Vous serez à la merci du gouvernement et des banques.
_ Au-delà de l’économie, les élites rêvent d’une société de surveillance massive dans laquelle chaque personne est suivie 24 heures sur 24. Bill Gates est partout dans les médias pour promouvoir l’idée d’applications de traçage (comme celles déjà utilisées en Chine) pour « combattre le coronavirus ». Apple et Google font également avancer l’idée et sont prêts à lancer des applications de suivi dès que le gouvernement sera prêt à les inscrire dans la loi.
_ Les élites globalistes ne se soucient pas de sauver des vies. Elles ne se soucient pas de sauver l’économie telle que nous la connaissons. Elles ne se soucient pas des affiliations politiques. Elles sont de leur propre côté et ne se soucient que du pouvoir. Comme je l’ai dit, nous ne sommes pas tous dans le même bateau. (https://lesakerfrancophone.fr/non-nous-ne-sommes-pas-tous-ensemble)

Socrate : « Les grands esprits discutent des idées; les moyens esprits discutent des événements; les petits esprits discutent des gens. »

Solnit, Rebecca : la « panique de l’élite » est le fait de puissants qui se représentent le genre humain à leur propre image (NB : se prennent-ils pour des dieux ?)

Spangler, David : Personne n’entrera dans le Nouvel Ordre Mondial à moins qu’il ou elle ne fasse le serment de vénérer Satan. Personne ne fera parti du Nouvel Age sans recevoir une initiation Luciférienne.
Spinoza, Baruch : « Dans un état libre, chacun peut penser ce qu’il veut, et dire ce qu’il pense ».
Spinoza, Baruch : La paix n’est pas une absence de guerre, c’est une vertu, un état d’esprit, une disposition à la bienveillance, à la confiance, à la justice.
Staline, Joseph : « Celui qui compte, n’est pas celui qui vote, c’est celui qui compte les votes. »
Stevenson, Robert Louis : « Toute lecture digne de ce nom se doit d’être absorbante et voluptueuse. Nous devons dévorer le livre que nous lisons, être captivé par lui, arraché à nous-même, et puis sortir de là l’esprit en feu, incapable de dormir ou de rassembler ses idées, emporté dans un tourbillon d’images animées, comme brassées dans un kaléidoscope. » . »Essais sur l’art de la fiction » 1905

Suskind, Ron  : “Le conseiller [anonyme du président Bush] a dit que les gars comme moi faisions partie ‘de ce que nous appelons la communauté basée sur la réalité’, qu’il a définie comme des gens qui croient que les solutions émergent de votre analyse judicieuse d’une réalité discernable. Ce n’est plus la façon dont le monde fonctionne vraiment. Nous sommes un empire maintenant et quand nous agissons nous créons notre propre réalité. Et alors que vous étudierez cette réalité, – judicieusement, si vous voulez, – nous agirons de nouveau, créant d’autres nouvelles réalités, que vous pourrez à nouveau étudier, et c’est ainsi que continuerons les choses. Nous sommes [les créateurs] de l’histoire… Et vous, vous tous, il ne vous restera qu’à étudier ce que nous avons [créé].” » New York Times du 17/10/2004 : « Without a Doubt – Faith, Certainty and the Presidency of Georges W. Bush.»
Conséquences : Nous aurons toujours du retard, dans nos analyses, sur ceux qui créent une réalité qu’ils nous donnent à penser, afin de nous détourner de nos buts et de nous donner de quoi occuper nos réflexions, et de ronger notre os. Ils ont toujours – ces politiques et leurs spin-doctors – plusieurs coups d’avance sur nous. Nous n’avons plus ce pouvoir – que nous avons donné à ceux que nous avons élus; mais aussi aux non-élus : les « hommes d’état sans état » que sont les dirigeants les multinationales – de fabriquer notre réalité, notre vérité. Zuihô.

Svevo, Italo : On meurt dans l’état précis où l’on est né : avec des mains faites pour saisir et incapables de serrer.

Swift, Jonathan : « Quand un vrai génie apparaît en ce bas monde, on peut le reconnaître à ce signe que les imbéciles sont tous ligués contre lui. »

Swinton, John : « …Le travail du journaliste est la destruction de la vérité, le mensonge patent, la perversion des faits et la manipulation de l’opinion au service des Puissances de l’Argent. Nous sommes les outils obéissants des Puissants et des Riches qui tirent les ficelles dans les coulisses. Nos talents, nos facultés et nos vies appartiennent à ces hommes. Nous sommes des prostituées de l’intellect. Tout cela, vous le savez aussi bien que moi ! » John Swinton : Célèbre journaliste, le 25 septembre 1880, lors d’un banquet à New York quand on lui propose de porter un toast à la liberté de la presse.

Tesla, Nikola : Les ondes alpha dans le cerveau humain sont entre 6 et 8 hertz. La fréquence d’onde de la cavité humaine résonne entre 6 et 8 hertz. Tous les systèmes biologiques fonctionnent dans la même gamme de fréquences. Les ondes alpha du cerveau humain fonctionnent dans cette plage et la résonance électrique de la terre se situe entre 6 et 8 hertz. Ainsi, l’ensemble de notre système biologique – le cerveau et la terre elle-même – fonctionnent sur les mêmes fréquences. Si nous pouvons contrôler électroniquement ce système résonnant, nous pouvons contrôler directement tout le système mental de l’humanité.
Thérèse de Lisieux (Sainte) : « La joie intérieure réside au plus intime de l’âme; on peut aussi bien la posséder dans une obscure prison que dans un palais ».
Theodom.org : « C’est humain de penser à Dieu ».
Tolstoï, Léon : « Il ne faut écrire qu’au moment où à chaque fois que tu trempes ta plume dans l’encre, un morceau de ta chair reste dans l’encrier ».

Rabbin Touitou : L’Islam est le balai d’Israël. Il va nettoyer l’Europe pour nous.

Tulku Urgyen Rinpoché : « Ne jamais méditer, mais ne jamais le perdre. » Ce n’est pas un acte de méditation comme Shamatha. Mais si vous oubliez et que vous vous distraire, vous retombez dans la confusion.
Ne jamais méditer, et ne jamais être distrait.
Lorsque vous oubliez, appliquez la pleine conscience. Sans ça sans ça
Attention, l’ancien patron reprend le dessus.
L’ancienne habitude de ne pas voir l’essence de l’esprit et d’être continuellement rattrapée par la pensée s’appelle « diffusion noire ».
Sans la vigilance, sans rappeler, rien ne nous rappelle de reconnaître l’essence de l’esprit. »

Unz, Ron : L’idée que le monde n’est pas seulement plus étrange que nous l’imaginons, mais qu’il est plus étrange que nous pouvons l’imaginer a souvent été attribuée à tord à l’astronome britannique Sir Arthur Eddington, et au cours des quinze dernières années, j’ai parfois commencé à croire que les événements historiques de notre époque pouvaient être considérés sous un angle similaire. J’ai aussi parfois plaisanté avec mes amis en leur disant que lorsque l’histoire vraie de nos cent dernières années sera enfin écrite et racontée – probablement par un professeur chinois dans une université chinoise – aucun des étudiants de son amphithéâtre n’en croira jamais un mot.

Upanishads : Conduis-moi de l’irréel au Réel ;Conduis-moi de l’obscurité à la Lumière ; Conduis-moi de la mort à l’Immortalité.

V pour Vendetta : « Le peuple ne devrait pas avoir peur de son gouvernement. Le gouvernement devrait avoir peur de son peuple. »
Vincent de Lérins (saint) : Il faut veiller avec le plus grand soin à tenir pour vrai ce qui a été cru partout, toujours et par tous. Ou : « Est catholique ce qui a été crû par tous, partout, et depuis toujours. »
Volkoff, Vladimir : « La monarchie est un système politique qui a produit, entre autres, la civilisation égyptienne, la culture perse, la Grèce archaïque, l’empire romain (conservé pendant mille ans de plus sous la forme régénérée de Byzance), inspiré l’Israël de l’Ancien Testament, les Incas, les Chinois, les Turcs, les japonais, fondé la Russie et la France, fécondé les arts et les lettres, érigé les plus superbes monuments sous toutes les latitudes et les longitudes. »

Voltaire : ceux qui peuvent vous faire croire à des absurdités pourront vous faire commettre des atrocités.

Von Mises, Ludwig : Les bolchevistes ont fait un précédent. Le succès de la bande de Lénine a encouragé le clan de Mussolini et les troupes d’Hitler. Fascisme italien et nazisme allemand ont adopté les méthodes politiques de la Russie soviétique. La seule différence entre le nazisme et le bolchevisme est que les nazis avaient une beaucoup plus grande minorité aux élections précédant leur coup d’État que les bolcheviks aux élections russes de l’automne 1917. Les nazis n’ont pas seulement imité les tactiques bolcheviques pour prendre le pouvoir. Ils ont copié beaucoup plus. Ils ont importé de Russie le système du parti unique et le rôle privilégié de ce parti et de ses membres dans la vie publique, la position suprême de la police secrète, l’organisation à l’étranger de partis affiliés utilisés pour combattre leurs gouvernements nationaux, pour faire du sabotage et de l’espionnage, soutenus par des fonds publics et les services diplomatique et consulaire, l’exécution administrative et l’emprisonnement des adversaires politiques, les camps de concentration, le châtiment infligé aux familles des exilés. Ils ont même emprunté aux marxistes des absurdités comme la façon de s’adresser la parole, camarade du parti (Parteigenosse) tiré du camarade marxiste (Genosse) et l’usage d’une terminologie militaire pour tous les sujets de la vie civile et économique. La question n’est pas de savoir sous quel rapport les deux systèmes sont semblables, mais en quoi ils diffèrent. Le gouvernement omnipotent, Editions de la Librairie de Médicis, 1947.

Warburg, Paul en 1920 : « Nous aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non. La seule question sera de savoir si il sera créé par conquête ou par consentement. »

Warner, Brad : C’est comme s’il y avait un petit Club des Êtres Illuminés. Voici comment ça se passe. Un gars dit qu’il a connu l’illumination. Il a une histoire en béton pour raconter le merveilleux jour où il a fini par tout comprendre sur tout. Un autre type, son enseignant, le déclare membre du Club des Êtres Illuminés. Et voilà son élève prêt à aider les autres à devenir comme lui.

Weil, Simone : Croire à l’histoire officielle, c’est croire des criminels sur parole.
Weil, Simone :  Combien de fois, en Allemagne, en 1932, un communiste et un nazi, discutant dans la rue, ont été frappés de vertige mental en constatant qu’ils étaient d’accord sur tous les points !
Weizmann, Chaim (premier président d’Israël) : « Il n’existe pas de juifs anglais, français, allemands ou américains; il n’existe que des juifs vivant en Angleterre, en France, en Allemagne ou en Amérique. »
Wilde, Oscar : Le vrai mystère du monde est le visible, et non l’invisible.

WILSON, Woodrow (président) : Certains des plus grands hommes aux États-Unis, dans le domaine du commerce et de la fabrication, ont peur de quelqu’un, ont peur de quelque chose. Ils savent qu’il y a un pouvoir quelque part si organisé, si subtil, si discret, si vigilant, si imbriqué, si complet, si omniprésent, qu’il vaut mieux en parler dans le secret quand il s’agit de le condamner.

Wolinsky, Stephen H. : Par ailleurs, ayant séjourné avec beaucoup de gurus dans le passé, j’avais une perception erronée. Je croyais à tort que si l’on était « éveillé », on pouvait en quelque sorte « enseigner », communiquer et transmettre les enseignements. J’en suis venu à comprendre que cela n’était pas vrai. J’ai reconnu qu’il n’y avait aucune corrélation entre la « réalisation » et la capacité à enseigner. Et le plus extraordinaire et libérateur, c’est que Maharaj avait à la fois la capacité d’enseigner et la « réalisation », ce qui était très rare, comme j’ai pu rapidement constater.

ZAPATO, Emiliano (1879-1919) : S’il n’y a pas de Justice pour le Peuple, Il n’y aura pas de Paix pour le Gouvernement. »

Zindler, Harold : L’optimisme de l’action est préférable au pessimisme de la pensée.
Zinn, Howard : « Et notre sujet est sens dessus-dessous : La désobéissance civile. Dès que vous prononcez le mot désobéissance civile comme sujet d’étude, vous dites que notre problème est la désobéissance civile. Ce n’est pas notre problème… Notre problème est l’obéissance civile. Notre problème est le nombre de gens qui ont écouté les diktats des leaders de leurs gouvernements et qui sont allés en guerre de par le monde et des millions de gens ont été tués à cause de cette obéissance. Notre problème est cette scène dans “À l’Ouest rien de nouveau” où les élèves marchent comme un seul homme vers leur devoir de faire la guerre. Notre problème est que les gens sont obéissants, partout dans le monde, face à la pauvreté, face à la famine, la stupidité, la guerre et la cruauté. Notre problème est que les gens obéissent et que les prisons sont pleines de petits délinquants, tandis que les grands truands gèrent le pays. C’est notre problème. »

Zundel, Maurice : « Le vrai problème n’est pas de savoir si nous vivrons après la mort, mais si nous serons vivants avant la mort» Puis: «Car il n’y a que la mort qui meure. Seul peut mourir en effet ce qui est déjà mort». Ensuite: «Une autre vie ça ne m’intéresse pas. Je crois à la vie d’un Autre en moi, à la vie d’un Autre. C’est là la vraie question».  A l’écoute du silence, Paris, Téqui, 1979, p. 53.
Zundel, Maurice : « On n’a pas le temps, la vie passe si vite, on est occupé par les soucis matériels, ou par les divertissements… Et finalement la mort arrive et c’est devant la mort que l’on prend conscience que la vie aurait pu être quelque chose d’immense, de prodigieux, de créateur… Mais c’est trop tard… Et la vie ne prend tout son relief que dans l’immense regret d’une chose inaccomplie. Et les survivants sont là, à pleurer ceux qui ne sont plus, qui n’ont rien fait jaillir de leur existence et à la réalisation desquels les vivants ont si peu collaboré. C’est alors que la mort, justement parce que la vie a été inaccomplie, apparaît comme un gouffre…» (idem).
Zundel, Maurice : « Le seul sanctuaire, c’est précisément l’homme lui-même. »
Zundel, Maurice : « Dieu est toujours déjà là, c’est nous qui sommes absents. »
Zundel, Maurice : « Dieu n’est pas une invention mais une découverte ».

Zuihô : Qui a inventé les maths si ce n’est Dieu ? Les maths préexistaient-ils avant que l’homme ne les mit en chiffres ?
Zuihô : Descartes a dit : « Je pense donc je suis ». Et je dis : Dieu s’appelle « Je Suis (celui qui suis) ». Donc : « Je » pense, et donc « Je Suis ». Comme « Je Suis » (me) pense, je suis. Et je suis comme Celui qui est. Je suis « Cela ».

Zuihô : Il s’agit désormais de résister, et d’être activiste. De passer à l’action dans le seul but de nous sauver de nos délires technologiques. Pour garder le plus précieux de l’humain : son humanité. Car c’est le manque de celle-ci qui nous mène au suicide actuel. Si je peux ainsi donner un sens à ma vie et à celle de mon enfant, alors nous méritons tous de nous transformer en activistes, en résistants, en dissidents, et donc, je suis volontaire.
Zuihô : Quoi qu’il en soit, j’ai perdu Courage quelque part. C’est vrai. J’ai perdu avant cela : l’Illusion, l’Émerveillement (quand je voyais encore la terre, la Vie comme quelque chose de fascinant où plein de savoirs pouvaient être acquis), les Plaisirs, la Motivation, un certain Optimisme, et le goût pour la Vie. 23/09/2013
Zuihô : Se rebeller, se révolter contre ce monde, c’est se rendre libre, c’est prendre sa liberté en main, c’est se déconditionner. 19/05/2020.
Zuihô : La Passion de faire, d’agir, de créer doit vous dévorer, vous pousser à brûler le carburant de votre existence afin de la vivre pleinement, jusqu’à la fin. 19/06/20

Zuihô : Le mental ment.
Zuihô : Depuis des millions d’années coule la même eau, s’écrasent les mêmes vagues, illumine notre soleil, soufllent les mêmes vents, poussent les mêmes plantes et arbres, se forment terres, roches et lave. Dans lesquels, depuis des millions d’années, vivent et survivent des milliads d’êtres sages : les animaux. Et nous avons les hommes, créatures hors-sol, extraterrestres, avons tout détruit, en quelques siècles.
Zuihô : Vivre sa vie pour Dieu, non pour les puissants.
Zuihô : Le temps ne passe pas mais revient.
Zuihô : S’il ne tire sa Sagesse de Dieu, alors l’homme l’obtient de lui-même ou de la contemplation de l’univers.
Zuihô : De même qu’avec le Diable, c’est quand on laisse Dieu nous saisir tel un instrument qu’il agit. Ainsi le Diable fait de nous ses instruments de guerre et du mal.

Zuihô : Dieu existe. Il a créé l’homme et la Terre. La Terre appartient pourtant à Satan, où Dieu l’a fait chuter, et où Satan essaie de faire chuter les hommes. Dieu, par amour, laisse aux hommes le libre arbitre. L’homme peut faire le Bien comme le Mal. Dieu n’agit pas envers l’homme sauf par l’entremise de Jésus et l’esprit saint. Mais l’homme peut refuser l’Amour de son Créateur et décider de suivre Satan, en commettant le Mal. Dieu n’a pas créé le Mal. 19/09/2020.

Zuihô : Toute action dans votre vie est désormais un acte politique engagé contre l’Etat, y compris manger et se soigner – surtout cela.
Zuihô : Pour aller à l’Homme il faut traverser l’os.

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Discours de John F. Kennedy, le 27 avril 1961 :

Je voudrais vous parler de notre responsabilité commune face à un danger qui nous concerne tous. Les événements des dernières semaines nous ont amené à percevoir cet enjeu. Mais les dimensions du problème sont apparues de manière imminente à l’horizon des prochaines années. Quels que soit nos espérances pour le futur, s’agissant de réduire une menace ou de vivre avec elle, il est impossible d’éviter l’actuel défi qui concerne notre sécurité et notre survie, un défi qui se présente de manière inhabituelle dans toutes les sphères de l’activité humaine. La question de la survie de notre société font apparaître deux nécessités, qui concernent à la fois le Président et la presse, deux gageures qui peuvent sembler contradictoires mais qui peuvent être conjugués et remplies si nous nous groupons face à ce péril national. Je me réfère ici à l’importance d’informer largement le public et à la nécessité de refuser la politique officielle du secret. Le simple mot de secret est inacceptable dans une société libre et ouverte. Et nous sommes en tant que peuple intrinsèquement et historiquement opposés aux sociétés secrètes, aux serments secrets, aux réunions secrètes. Nous avons décidé il y a longtemps que les dangers de la dissimulation excessive et injustifiée de faits pertinents dépassent de loin les dangers que l’on cite pour les justifier. Même aujourd’hui il est peu justifié de résister à la menace d’un société fermée (totalitaire ?) tout en imitant ses restrictions arbitraires. Même aujourd’hui, il est peu justifié d’assurer la survie de notre nation si nos traditions ne survivent pas avec elle. Et il y a un danger très grave qu’un besoin annoncé de sécurité accrue soit l’opportunité que saisiront ceux soucieux d’étendre sa portée aux limites extrêmes de la dissimulation et de la censure officielle. Voilà ce que je n’ai pas l’intention de laisser faire dans la mesure où j’en ai le contrôle. Et aucun officiel de mon administration, quelque soit son rang, civil ou militaire, ne devrait interpréter mes paroles ici ce soir comme une justification pour censurer la presse, étouffer la dissidence, cacher nos erreurs ou taire au public et à la presse les faits qu’ils méritent de savoir.

Mais je demande à tout publiciste, tout éditeur, tout journaliste dans ce pays de réexaminer ses propres principes moraux et de reconnaître la nature du péril qui menace notre pays. En temps de guerre, le gouvernement et la presse ont traditionnellement mis en commun leurs efforts reposant largement sur l’auto-discipline, pour empêcher la divulgation d’informations non-autorisées à l’ennemi. En temps de danger « clair et présent », les tribunaux ont maintenu que même les droits privilégiés du premier amendement doivent céder devant le besoin commun de sécurité nationale.

Aujourd’hui, aucune guerre n’a été déclarée, et aussi féroce le combat puisse t’il être, elle pourrait bien ne jamais se déclarer à la façon habituelle. Notre mode de vie est attaqué. Ceux qui se veulent nos ennemis progressent partout dans le monde. LA survie de nos amis est menacée. Et pourtant, aucune guerre n’a été déclarée, aucune frontière n’a été franchie par des troupes en marche, aucun missile n’a été tiré.

Si la presse attend une déclaration de guerre avant d’imposer l’auto-discipline qui s’impose dans ces conditions, alors peux seulement dire qu’aucune guerre n’a jamais autant menacé notre sécurité. Si vous attendez une situation de « danger clair et actuel », alors je peux seulement dire que le danger n’a jamais été aussi clair et sa présence plus imminente.

Cela requiert un changement de perspective, un changement de tactique, un changement de missions, par le gouvernement, par le peuple, par tout homme d’affaire ou chef d’entreprise et par tout journaliste. Car nous sommes confrontés dans le monde à une conspiration monolithique et implacable qui repose essentiellement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence (de l’infiltration plutôt que de l’invasion, de la subversion plutôt que des élections, de l’intimidation plutôt que du choix libre, des guérillas de nuit plutôt que des armées en plein jour).

C’est un système qui a mobilisé de vastes ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machinerie très efficace et au maillage très serré qui combine opérations militaires, diplomatiques, de renseignement, économiques, scientifiques et politiques.

Ses plans sont dissimulés, non publiés. Ses erreurs sont cachées, non affichées. Ses dissidents sont réduits au silence, pas complimentés. Aucune dépense n’est mise en question, aucune rumeur n’est imprimée, aucun secret révélé. Il conduit la guerre froide, bref, avec une discipline de temps de guerre aucune démocratie ne pourrait jamais espérer ou désirer bien se porter.

Cependant, toute démocratie reconnait les restrictions nécessaires liées à la sécurité nationale (et la question demeure de savoir si ces restrictions doivent être plus strictement observées si nous devons faire face à ce genre d’attaque et d’incontestable invasion).

A vrai dire, c’est un fait que les ennemis de cette nation se sont ouvertement vantés d’acquérir dans nos journaux les informations qu’ils auraient du obtenir dans le cas contraire en engageant des agents, par le vol, la corruption et l’espionnage ; que les détails des plans secrets de cette nation pour contrer les opérations secrètes de l’ennemi ont été mis à la portée de chaque lecteur de journal, ami autant qu’ennemi ; que les effectifs, la puissance, l’emplacement et la nature de nos forces et armes, et nos plans et stratégie pour leur utilisation ont tous été précisés dans la presse et autres médias à un degré suffisant pour satisfaire n’importe quelle puissance étrangère ; Et que dans au moins un cas, la publication de détails concernant un mécanisme secret par lequel les satellites étaient suivis, a demandé son altération au prix de beaucoup de temps et d’argent.

Les journaux qui ont imprimés ces histoires étaient loyaux, patriotiques, responsables et de bonne volonté. Si nous avions été engagés dans une guerre ouverte, ils n’auraient sans aucun doute pas publiés ces faits. Mais en l’absence de guerre ouverte, ils ne reconnaissaient que les contrôles du journalisme et non ceux de la sécurité nationale. Et la question que je pose ce soir est de savoir si des contrôles additionnels ne devraient pas être adoptés maintenant.

A vous seuls d’y répondre. Aucun officiel ne devrait le faire à votre place. Aucun plan gouvernemental ne devrait imposer ses restrictions contre votre volonté. Mais je manquerais à mon devoir envers la nation, considérant toutes les responsabilités que nous assumons maintenant et tous les moyens dont nous disposons pour remplir ces responsabilités, si je n’attirais pas votre attention sur ce problème et ne conseillais vivement sa considération réfléchie.

En de nombreuses occasions auparavant, j’ai dit (et vos journaux ont constamment dit) que nous sommes en des temps qui font appel au sens du sacrifice et à l’auto-discipline de chaque citoyen. Ils demandent que chaque citoyen mette en balance ses droits et son confort avec ses obligations au bien commun. Je ne peux pas croire maintenant que ces citoyens qui travaillent dans le journalisme se considèrent non concernés par cet appel.

je n’ai pas l’intention de mettre en place un nouveau bureau de l’information sur la guerre pour canaliser le flot des nouvelles. Je ne suggère pas de quelconque nouvelles formes de censure ou quelconque nouveau types de classification pour le secret. Je n’ai pas de réponse évidente au dilemme que j’ai soulevé, et ne chercherais pas à l’imposer si j’en avais une. Mais je demande aux membres de la profession journalistique et de l’industrie dans ce pays de réexaminer leurs propres responsabilités, de considérer le degré et la nature du danger présent, et de respecter le devoir d’auto-restriction que ce danger nous impose à tous.

Tout journal maintenant se demande, par rapport à chaque histoire : « S’agit-il de nouvelles informations ? ». Tout ce que je suggère est que vous ajoutiez la question : « Est-ce dans l’intérêt de la sécurité nationale ». Et j’espère que tout groupe en Amérique (associations et hommes d’affaire et officiels à tous niveaux) poseront la même question des efforts à accomplir, et soumettront leurs actions aux mêmes justes contrôles.

Et si la presse américaine considérait et recommandait la mise en place volontaire de nouveaux éléments spécifiques dans les rouages du gouvernement, je peux vous assurer que nous coopérerons de tout cœur et prendrons en considération ces recommandations.

Peut être n’y aura t’il pas de recommandations. Peut être n’y a t’il pas de réponse au dilemme auquel se trouve confrontée une société libre et ouverte dans une guerre froide et secrète. En temps de paix, toute discussion sur ce sujet, et toute action qui en résulte, sont à la fois douloureuses et inédites. Mais nous vivons un temps de paix et de péril tel qu’on n’en connu pas de précédent dans l’histoire.

C’est la nature sans précédent de ce défi qui aussi exige de vous de répondre à une deuxième obligation, une obligation que je partage, et c’est celle d’informer et d’alerter le peuple américain, de s’assurer qu’il possède tous les éléments d’information nécessaires et qu’il les comprenne également (les périls, les perspectives, les objectifs, de notre programme et les choix qui se présentent à nous).

Aucun président ne devrait craindre que le public ne scrute son programme. Car cet examen approfondi permet la compréhension. Et la compréhension autorise le soutien ou l’opposition. Les deux sont nécessaires. Je ne demande pas à vos journaux de soutenir l’administration mais je demande votre aide dans la tâche énorme d’informer et d’alerter le peuple américain. Car j’ai toute confiance en la réponse et le dévouement de nos citoyens dès qu’ils sont pleinement informés.

Non seulement je ne pourrais pas réprimer la controverse entre vos lecteurs, mais je dis qu’elle est la bienvenue. Cette administration a l’intention d’être franche concernant ses erreurs car comme un homme sage a dit un jour : « une erreur ne devient une faute que lorsqu’on refuse de la corriger ». Nous avons l’intention de prendre la pleine responsabilité de nos erreurs. Et nous attendons de vous que vous les pointiez du doigt quand nous manquerons à cet engagement.

Sans débat, sans critique, aucune administration et aucun pays ne peuvent réussir, et aucune république ne peut survivre. c’est pourquoi Solon le législateur Athénien décréta que c’était un crime qu’un citoyen se dérobe à la controverse. Et c’est pourquoi notre presse fut protégée par le premier amendement (le seul business en amérique spécifiquement protégé par la constitution) pas en premier lieu pour amuser ou divertir, pas pour exacerber le trivial et le sentimental, pas pour simplement « donner au public ce qu’il veut », mais pour informer, stimuler, réfléchir, faire état des dangers et opportunités, montrer nos crises et nos choix pour mener, façonner, éduquer et parfois même provoquer la colère de l’opinion publique.

Cela signifie une plus vaste couverture et analyse des nouvelles internationales (car elle n’est plus lointaine et étrangère mais à portée de main et locale). Cela signifie une attention accrue à une compréhension améliorée des actualités autant qu’une meilleure transmission. Et cela signifie, enfin, que le gouvernement à tous les niveaux, doit remplir son obligation de vous fournir l’information la plus complète possible en dehors des limites les plus étroites de la sécurité nationale (et nous avons l’intention de le faire). C’est au tout début du 17ème siècle que Francis Bacon remarqua trois inventions récentes qui étaient déjà en train de transformer le monde : la boussole (compas ?), la poudre à canon et la machine à imprimer. Maintenant le lien entre les nations qui a été d’abord accompli par la boussole a fait de nous tous des citoyens du monde les espoirs et les craintes d’un seul devenant les espoirs et les craintes de tous. Tandis que les efforts se poursuivent pour vivre ensemble dans ce monde unique, l’évolution de la poudre à canon jusqu’à ses limites ultimes a mis en garde l’humanité contre les terribles conséquences d’un dérapage.

C’est donc de la machine à imprimer (de la mémoire des actions des hommes, la gardienne de leurs consciences, la messagère de leurs nouvelles) que nous attendons de la force et de l’assistance, qu’elle nous donne confiance qu’avec votre aide l’homme sera ce pourquoi il est né : libre et indépendant.

******* pour les parents :

Voici ce que toutes les petites filles aimeraient que leurs papas sachent. C’est tellement vrai….
.1. La façon dont tu m’aimes est la façon dont je m’aimerais moi-même plus tard.
.2. Demande-moi comment je me sens, et écoute ma réponse. J’ai besoin de savoir que tu m’accordes de la valeur avant d’être assez grande pour connaître et comprendre ma propre valeur.
.3. J’apprends la manière dont je devrais être traitée par la façon dont tu traites Maman.
.4. Si tu es en colère après moi, je le ressens même si je n’en comprends pas toujours la cause, alors parle-moi.
.5. Chaque fois que tu donnes de l’amour, que ce soit à moi ou a une autre personne, j’apprends à aimer le monde et à croire un peu plus au futur de l’humanité.
.6. J’ai besoin de me sentir protégée par ta force pour avoir confiance en moi. Protège-moi, serre-moi dans tes bras.
.7. S’il te plaît, ne parle pas du sexe comme un adolescent au début de sa puberté. Je risquerai de croire qu’il s’agit d’une chose sale.
.8. Quand tu parles avec une voix calme et douce, je comprends bien mieux ce que tu veux me dire.
.9. Fais attention à la façon dont tu parles des corps des femmes, même (et surtout) quand tu es « juste en train de plaisanter », c’est comme cela que je vais moi-même juger mon propre corps.
.10. Fais attention à la façon dont tu traites mon cœur. C’est la façon dont je permettrai aux autres hommes de le traiter.
.11. Si tu m’encourages à trouver ce qui m’apporte du bonheur, je le chercherai toujours.
.12. Si tu me donnes un sentiment de sécurité quand je suis avec toi, je saurais mieux me défendre et m’éloigner des hommes avec lesquels je ne me sentirais pas en sécurité.
.13. Enseignes moi l’amour de l’art, de la science et de la nature, et j’apprendrais que l’intellect importe plus que le tour de hanches ou de poitrine.
.14. Laisse moi te dire exactement ce que je veux même si tu trouves que c’est bête ou que j’ai tort, parce que j’ai besoin de savoir que tu acceptes le fait que j’aie mes propres idées.
.15. Quand je serais un peu plus grande, mon corps qui se transformera. Si tu me donnes l’impression que tu as peur de cela, je vais croire qu’il y a un problème dans le fait de grandir et de devenir une femme.
.16. Si tu sais être heureux et être satisfait de ce que tu as, je le saurai moi aussi.
.17. Quand je te demande de me lâcher la main, s’il te plaît, reste disponible; Je reviendrai toujours vers toi et j’aurais toujours besoin de toi.
.18. Si tu fais preuve de tendresse, j’apprendrai à embrasser et à accepter ma propre vulnérabilité, plutôt que d’en avoir peur.
.19. Quand tu me laisses t’aider à bricoler, à réparer la voiture ou a repeindre la maison, j’apprends que je peux faire tout ce qu’un garçon fait et que je n’ai pas moins de valeur.
.20. Quand tu protèges ma féminité, j’apprends que tout ce qui fait mon être vaut la peine d’être protégé.
.21. La manière dont tu traites notre chien au moment où tu crois que je ne te regarde pas m’en dit plus sur toi et sur tes valeurs que tout le reste.
.22. Ne laisse pas l’argent être tout ce qui compte, ou je n’aurais plus de respect, ni pour l’argent, ni pour toi.
.23. Embrasse-moi, serre moi dans tes bras, de la façon bonne et pure que peut faire un Papa. J’ai besoin de savoir ce qu’est un contact physique sain.
.24. S’il-te plaît ne me mens pas, parce que je croirai tout ce que tu me diras.
.25. N’essaye pas d’éviter les conversations difficiles. Si tu évites cela, je croirai que je ne vaux pas la peine que l’on se batte pour moi.

LAW NOLTE, Dorothy : L’enfant apprend ce qu’il vit (plusieurs versions) :
1)
S’il vit entouré de critiques : il apprend à blâmer.
S’il vit entouré d’hostilité : il apprend à être agressif.
S’il vit entouré de moquerie : il apprend à être timide.
S’il vit entouré de honte : il apprend à se sentir coupable.
S’il vit entouré : il apprend à être patient.
S’il vit entouré d’encouragement : il apprend à agir.
S’il vit entouré d’éloges : il apprend à complimenter.
S’il vit entouré de probité : il apprend à être juste.
S’il vit entouré de sécurité : il apprend à faire confiance.
S’il vit entouré d’approbation : il apprend à s’accepter.
S’il vit entouré d’amitié : il apprend à aimer la vie.

2)
Si l’enfant vit sous les critiques, il apprend à condamner.
Un climat d’hostilité, lui enseigne à être agressif.
Les humiliations, le rendront timide.
S’il est méprisé, il se sentira coupable.
Exposé au ridicule, il apprendra la méchanceté.
Mais un climat de tolérance, lui apprend à être patient.
Le réconfort et la sécurité lui enseigneront la confiance.
Si on l’estime, il apprendra à se surpasser
Dans un climat de loyauté, il deviendra juste.
Si l’enfant sent qu’on l’accepte tel qu’il est, il s’acceptera lui-même et cherchera à se réaliser.
S’il vit dans un climat d’amour et de compréhension, il trouvera des raisons de vivre en découvrant l’amour du monde.

3)
Si en enfant vit dans la critique, il apprend à condamner.
Si un enfant vit dans l’hostilité, il apprend à se battre.
Si un enfant vit dans le ridicule, il apprend à être gené.
Si un enfant vit dans la honte, il apprend à se sentir coupable.
Si un enfant vit dans la tolérance, il apprend à être patient.
Si un enfant vit dans l’encouragement, il apprend à être confiant.
Si un enfant vit dans la motivation, il apprend à se faire valoir.
Si un enfant vit dans la loyauté, il apprend la justice.
Si un enfant vit dans la sécurité, il apprend la foi.
Si un enfant vit dans l’approbation, il apprend à s’aimer.
Si un enfant vit dans l’acceptation et l’amitié, il apprend à trouver l’Amour dans le Monde.

4)
Si l’enfant vit dans la critique, il apprend à blamer.
Si l’enfant vit dans l’animosité, il apprend à agresser.
Si l’enfant vit dans la moquerie, il apprend à se renfermer sur soi même.
Si l’enfant vit dans la honte, il apprend à se sentir coupable.
Si l’enfant vit dans la tolérance, il apprend à être patient.
Si l’enfant vit dans la louange, il apprend à avoir confiance.
Si l’enfant vit dans l’encouragement, il apprend à apprécier les gens.
Si l’enfant vit dans l’équité, il apprend à être juste.
Si l’enfant vit dans la sécurité, il apprend à avoir foi en l’avenir.
Si l’enfant vit dans l’approbation, il apprend à s’aimer lui même.
Si l’enfant vit dans l’acceptation et l’amitié, il apprend à être sensible à l’Amour dans le Monde.

*** Montrez l’exemple !!! ***

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